- Pourquoi la Vierge pleure-t-Elle?


- Miracles à Naju


- Signification des signes à Naju


- Cinq sommes
spirituelles de Naju


- Qui est Julia ?
(La choisie de Jésus
et la Sainte Marie)



-
Le Témoignage
et l'
Expérience de sa foi, Julia
 

- Les Témoignages de Julia au cours de la veillée de prières du premier samedi


- La Vie préparée
par le Seigneur

1 Table
2 Table
3 Table
4 Table
 


- Chemin de l'Amour
Pour le Seigneur


- La douleur de Julia
comme âme de
victime
 

- Obéissance de Julia



Julia qui dirige
"Maison d'Amour"
pour les grand-mères

 

Le Chemin de l'Amour pour le Seigneur
(La conversation de Julia Kim avec Notre Seigneur sous Sa consuite)


 

   Chapitre 66. La douleur en réparation des avortements (le 13 juin 1983)
 

De nombreuses personnes tuent par avortement leurs enfants qui ne sont pas encore nés sans se rendre compte que les fœtus sont aussi des vies précieuses porteuses de dignité humaine dès le moment de la conception. Combien de personnes pensent que l'avortement est un meurtre ? Au lieu de se repentir de leurs péchés commis en avortant, la plupart des personnes qui ont eu des avortements pensent simplement sans aucun remords que l’avortement consiste à retirer des morceaux de chair sanglante de leur corps. Je ressens une grande pitié pour elles.

Un jour, alors que toute la nation était secouée par un cas de meurtre au niveau du torse, je coiffais les clientes dans mon salon de coiffure. La plupart des clientes parlaient du meurtre et prononçaient des mots horribles que je ne pouvais pas imaginer. « Les autorités devraient hacher le meurtrier à mort. Ils devraient le déchirer en morceaux. » À ce moment-là, mon ventre s'est mis à gonfler.

Un peu plus tard, il était tellement enflé qu'il était difficile de coiffer mes clientes. Je suis allée dans ma chambre pour me changer afin qu’on ne voit pas mon ventre qui enflait.

Je leur ai demandé : « Avez-vous déjà avorté ? »

De nombreux clientes parlaient sans retenue: « Je n'ai eu que cinq avortements. » « J'ai eu huit avortements. » « Je me souviens d'avoir entendu dire que quelqu'un avait eu jusqu'à vingt-quatre avortements, mais je n'en ai eu que douze. » « Je n'ai eu que quatre avortements mais comme je vous entends parler maintenant, je pense que j'ai eu moins d’avortements. »Elles ont continué à se vanter de leurs expériences d'avortements comme si elles étaient en concurrence les unes avec les autres.

En les entendant parler, j'ai d'abord prié le Seigneur, puis je leur ai dit : « Tout le monde, s'il vous plaît, écoutez-moi bien. Vous dites que les autorités devraient déchirer le meurtrier à mort pour son meurtre au torse, mais je ne pense pas que vous soyez qualifié pour dire de telles paroles.

Elles m’ont alors demandé : « Pourquoi ? » Je leur ai répondu : « De nombreuses personnes se font avorter en ce moment sans ressentir aucune culpabilité, mais l'avortement est un meurtre. » Chacune des clientes m'a répondu avec un regard dubitatif indiquant qu'elles ne me comprenaient pas du tout et elles m’ont toutes demandé « Pourquoi ? »   « Pourquoi l'avortement est-il un meurtre. »

Je leur ai dit : « Dieu nous a donné de nouvelles vies. Avorter un bébé qui grandit bien dans le ventre d'une mère, c'est comme si la mère déchirait son bébé vivant à mort entre les mains d'un médecin. Malgré le fait qu'un fœtus n'est pas un morceau de chair sanglante amovible mais un bébé vivant, respirant et en mouvement dès le moment de la conception, de nombreuses personnes déchirent cruellement à mort leurs bébés innocents sans ressentir aucun sentiment de culpabilité.

C'est la même chose que les actes de ceux qui commettent des meurtres sans se souvenir de la dignité des vies humaines.

« Mon Dieu ! Vous avez vraiment raison. Que dois-je faire? » Beaucoup de mères ont été surprises par mes paroles et ont commencé à pleurer en se frappant la poitrine. À ce moment-là, mon ventre a retrouvé sa taille normale qu’il avait avant la vague violente. Je me sentais si heureuse. Un grand nombre de personnes, même celles qui ne croyaient pas en Dieu, sont venues se repentir de leurs péchés en pleurant.

C'était possible car le Seigneur avait ému leurs cœurs pour qu'elles acceptent bien mes paroles. Elles m'ont demandé en versant des larmes : « Alors, que devrions-nous faire ? »

J'ai dit à celles qui croyaient en Dieu : « S'il vous plaît, offrez une messe pour vos bébés avortés. En pensant à eux, soyez gentilles et attentionnées envers les autres enfants ainsi qu'envers vos propres enfants. Puis j'ai dit à celles qui ne croyaient pas en Dieu,

« S'il vous plaît, soyez plus gentilles et plus attentionnées avec vos enfants. Chaque fois que vous voyez des enfants pauvres, soyez également gentilles et attentionnées avec eux en pensant aux bébés avortés. S'il vous plaît, faites savoir aux autres personnes que l'avortement est un meurtre. »

Elles ont toutes répondu de plein gré: « Ah, je le ferai. »

« Oh, Seigneur, mon Bien-Aimé ! Merci. Puisqu'elles ont accepté comme telle la parole selon laquelle l'avortement est un meurtre, Vous êtes également heureux, n'est-ce pas ? »

« Oui, mon petit bébé ! Je ressens beaucoup de douleur dans Mon Cœur pour de nombreux fœtus qui ont été cruellement tués, privés de leur dignité humaine et pour ces âmes qui marchent sur le chemin de l'enfer à cause de leurs avortements. Vous qui le savez bien, vous les avez aidés à prendre conscience aujourd'hui du fait que l'avortement est un meurtre afin de raviver leur conscience mourante. C'est pourquoi je suis très satisfait en ce moment.

Comme je serai toujours avec vous, faites connaître le fait tel qu'il est avec la conviction que tous pourraient être sauvés avec la grâce du repentir. Alors, beaucoup d'âmes se repentiront et seront sauvées. »

 

La dignité humaine piétinée par l'avortement