La statue de la Vierge exsudant l'huile parfumée.
APERCU GENERAL DES FAITS ENTOURANT LA
VIERGE QUI PLEURE A NAJU, EN COREE DU SUD, DE JUILLET 1989 A JANVEIRE 1992
La première partie des messages
fut publiée
en France et en Suisse et se terminant avec le message du 23 février
1989.
Les messages qui suivirent furent expédiés chaque fois à environ 150-200
personnes, aux revues «Chrétiens Magazine » en France et « Stella Maris », en Suisse. Ces revues publièrent bon nombre de ces
messages. Cette deuxième partie des messages commence avec celui du 5
juillet 1989. Il est surtout destiné aux prêtres. Il parle aussi de
l'imminence
de la Troisième Guerremondiale. Ce jour-là,
la
Vierge avait versé des larmes de sang.
A partir de ce message,
la Vierge met en évidence
le sort douloureux qui attend le monde qui ne se soucie plus guère de
son Créateur
et de son Sauveur. Le message du 26 août, accompagné de nombreuses larmes de sang, est
poignant. Je fus témoin de ces larmes et de l'extase de Julia. J'avais
passé
trois jours près de la Vierge.
Ce fut le troisième jour que les larmes de sang coulèrent.
Le 14 octobre, je me
étais rendu près de
la Vierge avec deux de mes hôtes
que j'avais
invités à ccasion
du Congrès
Eucharistique qui se déroula, à Séoul, le 9 octobre. Cétaient Soeur Adeline
Langlois, Canadienne, missionnaire au Japon et le Père Louis Bosmansm Belge naturalisé Canadien, curé au Canada.
Le Père Bosmans et moi avions été
compagnons d'études au Scolasticat de Philosophie. Nous étions
là
depuis deux ou trois heures lorsque la Vierge commença à verser des larmes
ordinaires. Le 15, le samedi, alors que nous prenions le petit déjeuner
chez des religieuses, un coup de téléphone m'arriva de Naju : la Vierge verse d'abondantes
larmes de sang Peu après, nous étions près de
la Vierge.
Alors que nous récitions
le chapelet, avec méditation sur les mystères douloureux, Julia
tomba en extase, ayant prononcé ces mots du quatrième mystère :
«Méditons
sur Jésus
portant sa croix » Elle ne prononça pas le dernier mot. Une fois en extase, devant
nous, pendant plus d'une heure, Julia eut à subir des souffrances
atroces.
Elle poussait des cris extrêmement douloureux, dont l'intensité déchirait
nos coeurs.
Le Père
Louis Bosmans et moi, de nos bras cherchions à amortir les brusques
sursauts qui accompagnaient les horribles tourments que Julia endurait. A la
fin de ses tourments, Julia reçut un message émouvant.
Fait curieux : j'ai
constaté
que chaque fois que des larmes de sang coulaient en abondance, il y avait très peu
de témoins,
environ de sept à dix ; de même, lors des extases accompagnées de
pénibles
souffrances.
Le 26 novembre (1989) et ensuite au
cours de la nuit du 26 (fête du Christ-Roi) au 27 novembre, les larmes de
sang, très
nombreuses, coulèrent sur un visage qui exprimait une intense
douleur. Le message que donna alors la Vierge répète pour la troisième fois, en cinq mois,
que la Troisième Guerre
mondiale est déjà sur le point de commencer.
Ce sera en 1990, en mai, en août, en
septembre, en octobre, que l'on recevra un signe spécial de la présence
et de l'amour
de la Vierge :
des photos des larmes de la
Vierge, des images placées par Julia près de
la Statue furent abondamment
imbibées
d'une
huile parfumée. Cela se répéta aussi avec des photos que j'avais
placées
moi-même
près
de la Statue. J'en ai
qui ont gardé cette huile depuis déjà deux ans et davantage.
En novembre 1990,
la Vierge, pour la première
fois, demanda la fondation de l'Association de l'Arche de Salut de Marie.
Elle réitéra
cette demande au cours de 1991. Elle spécifia que son Coeur était l'Arche ;
qu'il
fallait L'aider
à y
faire monter le plus d'âmes possible. En novembre 1991, par des extases,
Elle montra à Julia l'endroit qu'Elle s'était choisie
pour l'érection
d'un
Sanctuaire, de même pour une source.
A cet endroit, trois fois, la
messe fut célébrée : à ces moments, il y eut aussi le miracle du soleil
(la lumière
sphérique).Le 2 et 3 avril 1991, je me
retrouvai devant la Statue
avec le Père
Gérard
Mc Ginnity, Irlandais, directeur spirituel de Christine Callagher, Irlandaise,
visionnaire qui reçoit aussi des messages.
La Vierge qui pleurait déjà
depuis près
de deux mois continuait à verser de nombreuses larmes qui coulaient jusqu'au bas
de la Statue.
Le 15 et 16 mai 1991, pour la première
fois, des pèlerins arrivèrent des Philippines. Ils étaient
accompagnés
de deux prêtres.
Le 16 mai, vers la fin de l'après-midi, ils se retrouvèrent pour la messe à la
paroisse du Saint Rosaire à Naju. Les pèlerins y assistèrent ainsi que Julia et
quelques Coréens. Les deux prêtres philippins concélébraient.
Le célébrant,
à la
communion, donna l'hostie après l'avoir trempée dans le précieux
Sang de Jésus.
Julia était
parmi les communiants : à peine arrivée à sa place, elle sentit que de l'hostie
sortait du Sang qui, se répandant dans sa bouche, déborda aussi sur ses lèvres. Les
prêtres,
les chrétiens
présents
virent le miracle. L'émotion fut grande. Des photos aussi furent prises.
J'ai écrit un article à ce
sujet, article que l'on peut lire à la suite du message que
Jésus
communiqua à Julia sur l'Eucharistie. Julia était alors en extase.
Par la suite, il n'y aura
plus de message jusqu'au 26 août compris. De même, il n'y eut
plus de larmes. Toutefois, sans arrêt, chaque jour et même au cours des nuits,
du parfum se dégagea de
la Statue.
Mais voici que le 27 août des
larmes apparaissent dans les yeux, mais sans couler tout au long des joues. Et
cela chaque jour Ensuite, les larmes descendront jusqu'aux lèvres. Et
ce sera ainsi tous les jours. ON les verra encore jusqu'au mardi 14 janvier (1992)
compris.
Le nombre des journées de
larmes depuis les premières larmes le 30 juin 1985 atteint exactement le
chiffre de 700 (sept cents) journées. Cela frappa beaucoup Julia. Sa surprise fut même si
grande qu'elle
pensa : «que
ce serait bien si une messe était célébrée chez nous. » Son désir
fut exaucé.
Dans l'après-midi arriva le Père
Aloysio Chang. Il célébra la messe chez Julia. Au moment de la consécration,
Julia ressentit une douleur torturante à la poitrine et cela à l'improviste. Après la
messe, elle s'expliqua : elle éprouva la douleur qu'aurait
pu causer un glaive, une épée, une lance dans le corps. Ce coup lui fut fait
en pénétrant
par le côté droit
de la poitrine pour s'arrêter là où est le coeur. Le côté était gonflé.
Pak Lubino, l'aide journalier auprès de
la Vierge, me dit au téléphone,
qu'il
y avait une blessure sur le côté causée par l'arme qui avait été enfoncée dans
la poitrine.Cela arriva de la même
manière,
le 29 janvier 1989. Julio, son mari me montra la blessure : elle avait la
forme d'une
croix.
Le 27 août, il y eut deux
messages. Dans le premier, la
Vierge parle même de Gorbatchev qui deux, trois jours avant,
avait été
victime d'un
Coup d'Etat. Il y aura un message en septembre,
un en octobre, quatre en novembre, un en décembre (1991). J'ai écrit
un article sur la «fin d'après-midi du 4 novembre ».
Julia était
chez moi avec le Père Chang et trois autres personnes. Julia, en
extase, subit des assauts furieux des démons. Après que les démons
eurent laissé leur proie,
la Vierge communiqua un message. L'article
a sa place à la suite du message du 4 novembre.
Dans ces messages,
la Vierge ne parle plus des
catastrophes, cataclysmes, calamités dont Elle parlait en 1989, 1990 et début
1991. Elle prépare, ou plutôt complète la
formation spirituelle des petites âmes qui La suivent pour en faire des victimes d'amour,
de réparation,
élevées
bien haut avec Jésus sur la croix (voir à la fin du message du 17
septembre 1991).
A propos des larmes de la Vierge, j'ai pu
les voir presque à chacune des visites, lors des prières
que je faisais près de la Statue. J'en ai bien compris le sens, car ces larmes de sang
si douloureuses, comme on peut le voir par les photos insérées ici, jaillissaient le
deuxième
ou troisième
jour de mes visites.
A tel point que la communauté de religieuses dont j'étais
chaque fois l'hôte, me disait, lorsque le téléphone sonnait au cours
du petit déjeuner :
« Père,
c'est
pour vous. La Vierge pleure. » Ce fut le cas à plusieurs reprises. On me téléphonait que la
Vierge avait commencé à verser des larmes.
Qu'ai-je compris ?
Que je devais me unir toujours plus à Elle dans ses
souffrances. Et je cherche à l'aider. Par exemple aussi en écrivant ces lignes, en
traduisant les messages, en les faisant connaître. Mais à cela
s'ajoute
l'effort
d'être
toujours plus une victime d'amour.
Le 1er et 2 octobre
dernier, je me retrouvai devant la
Statue avec un prêtre belge, salésien, le Père
Victor Miller. Le deuxième jour de notre séjour, il y avait nous
deux et deux ou trois autres personnes près de la Vierge. Parmi elles, Pak
Lubino. J'avais
pris la statue dans mes bras pour que le Père Miller puisse mieux
la voir.
Après un tout petit instant, voilà qu'un « liquide brillant,
huileux » jaillit en haut de la tête, comme par petites gouttelettes. Ce « signe » de la présence, du « bonjour » de la
Vierge y est encore. (Le Père R .
Spies écrit
ces lignes le 24 janvier 1992)
UN SOMMAIRE DES SIGNES SURNATURELS A NAJU
DE 1985 JUSQU'ICI
1.
Larmes et larmes de Sang de la statue de la Vierge
2.
Huile parfumée de la satue de la Vierge
3. Changements
miraculeux des espèces Eucharistiques en chair et en sang
4. Descente de l'Eucharistie
5. Descente du Sang Précieux de notre Seigneur
6.
Guérisons
spirituels et physiques
7.
Stigmates de Julia
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