Que soit loué Jésus! Que soit louée la Sainte Mère!
(Première partie)
Je suis heureuse de vous rencontrer. Comment avez-vous mis en pratique les Cinq Spiritualités pendant ce mois-ci ? Amen ! si nous pratiquons les Cinq Spiritualités, n'importe quels démons s’enfuiront. Il existe 12,420 maladies différentes. Je prie pour votre guérison et toutes ces maladies. Si je prie en disant : « Guérissez quelque chose de cette personne ou bien guérissez la maladie cardiaque de telle personne, ... », cela prend trop de temps pour réciter toutes les maladies. Et je ne les connais pas en détail non plus.
Pendant le temps de prières avec les pèlerins, bien que je ne sache pas de quelles maladies vous souffrez, je prie le Seigneur ainsi: «Si les pèlerins sont atteints d’une des 12,420 maladies existantes, je Vous prie de les guérir. » Et je prie pour eux en prenant un bain ou pendant qu’on me coupe les cheveux. Je prie aussi en étant couchée en disant : « Oh, Jésus, en les coupant, beaucoup de mes cheveux sont tombés par terre. Je Vous prie de sauver autant d’âmes que le nombre de mes cheveux tombés à terre ! » Je ne dis pas seulement cela mais j’amméliore ma demande : « Veuillez guérir autant de maladies que le nombre de mes cheveux. » Si vous êtes malades, j’espère que vous irez mieux !
Parfois, c’est dur pour moi de souffrir. Mais c’est la souffrance qui porte l’espoir (de la conversion des pécheurs). D’accord, chers pèlerins! Offrons gracieusement nos souffrances. Aujourd’hui, notre directeur de la planification vous a illuminés en citant « la Parole de Dieu » de la Bible et « des Messages d’Amour » de Jésus et de la Sainte Mère. Vous devez avoir bien compris, n’est-ce pas ? Donc, je voudrais que nous méditions les Cinq Spiritualités indépendemment des choses futiles dans notre vie, sans penser ainsi: « Cette situation correspond-elle à C’est de ma faute », « Cette circonstance correspond-elle aux Prières de la Vie ? » Est-ce que cela correspond à la spiritualité de Amen ? « Est-ce que ça correspond à la spiritualité de l’Offrande de sa vie ? »
Mais nous devons méditer ces spiritualités dans notre vie en les pratiquant. Alors, toutes les Cinq Spiritualités seront suivies pleinement d’effet dans notre vie. Si nous donnons vraiment notre vie, Jésus et la Sainte Mère feront tout pour nous. Faites confiance à Jésus et à la Sainte Mère.
Je suis partie pour les Etats-unis le 19 mars 1990 et je suis restée dans une famille d’accueil américaine le 21 mars. Pourquoi suis-je restée dans une famille d’accueil américaine et non coréenne ? Pendant l’assemblée, j’ai délivré
deux messages avec deux objectifs, « L’avortement est
un meurtre » puis « Transformer tout dans notre vie en prières». (Le contenu de ces messages) avait déjà été publié dans les rapportés dans tous les journaux avant même que j’en fasse la communication. Donc, les partisans de l’avortement ont essayé de faire quelque chose pour m’empêcher de délivrer les messages. Les partisans de l’avortement m’ont pourchassée dans les hôtels et de toutes les maisons
coréennes. Nous étions cachés dans une maison américaine
malgré le fait que je ne pouvais pas parler du tout en anglais avec le propriaitaire de la maison.
Julio qui est resté un mois là m’a dit: « Nous sommes ici pour mourir de faim aux Etats-Unis. » Personne ne nous avait servi de plat bien qu’on avait mis de la nourriture sur la table. Cela parce que nous ne mangeons pas à moins d’avoir été invités. Il y avait une banane sur la table. J’avais
si
faim. Je n’arrivais plus à contrôler mes yeux qui étaient fixés sur la banane. Cependant, je ne pouvais pas la manger puisque personne ne nous avait invités à venir manger. Le lendemain, j’espérais qu’ils auraient eu un geste pour nous inviter à venir manger mais ce ne fut pas le cas. Comme nous étions dans une maison à l’étranger sans interprète, nous étions affamés. J’avais l’habitude de jeûner mais ce
n’était le cas de mon mari Julio.
Je suis allée aux toilettes de la maison. L’eau chaude coulait quand j’ai ouvert le robinet. A présent quoi qu'il arrive, il nous faut penser ainsi: "Ah, le Seigneur veut me dire quelque chose en faisant une telle chose!" Nous devons toujours penser de cette façon là. Quand je prends une douche, je me lave d’
abord
les cheveux. Chaque personne a une manière différente deprendre sa douche. Moi je me lave d’abord les cheveux puis ensuite le reste du corps. Mais ce jour-là, je me suis tout d’abord douchée seulement avec de l’eau. Ensuite, j’ai mis du savon sur tout mon corps. Puis lorsque j’ai tourné le robinet d’eau, je ne pouvais pas avoir d’eau même tiède. L’eau était entièrement froide.
« Ah, c’est la volonté du Seigneur pour moi. » Je devais enlever toute l’eau savoneuse de mon corps. Si j’avais seulement commencé par me laver la tête d’abord, j’aurais bien pu procéder ainsi. A Pittsbirgh, il fait aussi froid qu’à Gangwon-do en Corée. Mais je n’ai pas pris de douche approximativement.
Comme cette douche a-t-elle pu être froide en rinçantsoigneusement chaque partie de mon corps. Oh, mais lorsque je suis entrée dans la chambre, j’ai remarqué qu’il y avait seulement un drap léger sur le lit. En ouvrant le placard, je pensais y trouver une couverture mais il n’y en avait pas. Pas de chauffage dans la chambre, pas de couverture chauffante dans le lit. Je grelottais de froid. Comment pouvais-je dormir avec seulement un drap léger ?
« Oh, je devine que le Seigneur veut que je prie. » Je me suis habillée, recouverte du drap, accroupie, puis j’ai prié toute la nuit. Mais alors j’ai commencé à tousser. Ouah, je n’ai jamais autant souffert de quintes de toux dans ma vie qu’à ce moment-là. Je n’arrêtais pas de tousser, mêmeune minute. Je continuais de tousser. Bien que je sois asthmatique, jen’ai jamais toussé de la sorte. Le lendemain, j’ai parlé au propriétaire lui disant que je souhaitais aller à l’hôpital. Mais il m’a répondu qu’on ne pouvait pas y aller. Je ne peux pas parler anglais mais je peux facilement le comprendre. En Corée, on peut aller à tout moment à l’hôpital et à la pharmacie pour recevoir les médicaments. Mais aux Etats-Unis,
on ne pouvait même pas avoir de médicaments. Donc personne
ne m’a donné de médicaments. J’étais dans cet état dès le 21 du mois et j’ai délivré les Messages d’Amour le 25.
A ce moment-là, je suis allée à Pittsburgh avec la permission de l’Archevêque Yoon Gong-hee. A ce moment-là, beaucoup de prêtres, de religieux et de personnes avaient déjà été témoins plusieurs fois des Larmes et des Larmes de Sang versées par l’intermédiaire
de
la statue de Notre Dame. Alors l’Archevêque Yoon Gong-hee m’avaitdit : « Je crois aux Larmes, aux Larmes de Sang versées par Notre Dame. Les Messages sont exempts d’erreur. A présent, j’en attends des fruits. » Voilà pourquoi je suis allée à Pittsbirgh avec la permission de l’Archevêque. A ce moment-là, la conférence se p assait à l’Auditorium de l’Université de Duquesne à Pittsbirgh. Environ
cent prêtres, deux cent religieuses et plus de sept-mille fidèles
s’y étaient rassemblés. C’était la première Conférence mariale qu’on tenait et j’y étais.
Vous connaissez l’Archevêque Danylak, n’est-ce pas? (Oui...) C’est là que nous nous somme rencontrés pour la première fois. L’Archevêque Danylak célébrait la Messe à ce moment-là. Il y avait huit intervenants pour l’événement. Six d’entre eux se sont exprimés le
24 mars.
Quel jour était-ce le 25 mars? C’était la solennitéde l’Annnontiation de Notre Seigneur, n’est-ce pas? On avait demandé aux intervenants de ne pas excéder une heure d’allocution par personne. Seulement une heure y comprs la prière du Chapelet. Je suis intervenue le 25. On m’a dit alors de parler autant que je le voulais. Pendant que je parlais , je ne me suis pas rendue compte que le temps passait si vite. Certains parmi vous font ainsi maintenant mais ce jour-là,
sept-mille et des milliers de personnes y compris les prêtres
et les Evêques étaient en train de me regarder sans faire aucun mouvement. Je n’ai pas réalisé combien d’heures s’étaient écoulées.
L’interprète était une femme nommée Lucia. Elle disait : « Oh, comme mes jambes me font mal, je n’en peux plus. Arrêtez. Je suis prête de m’évanouir.” J’ai donc arrêté mon discours et il s’est avéré que j’avais délivré mon discours pendant trois heures et
quarante
minutes. Après avoir fini de parler, on m’a dit : « C’est le miracle des miracles. » Les gens aux Etats-Unis ne peuvent pas persévérer plus de trente minutes à rester assis tranquillement, et mal à l’aise, ils commencent à bouger. Cependant ils sont restés plus de trois heures et j’ai reçu plus de dix applaudissements debout.
Pour eux aussi, c’était la première fois de donner plus de dix ovations debout à cet endroit. Comme je n’avais jamais eu d’ovations debout auparavant, cela m’a surpris d’en recevoir. Comme ils se sont levés tous subitement, je me suis dit : « Est-ce que j’ai fait quelque chose de mal ? » Tout le monde
frappait
dans ses mains et ça a fini de cette manière. Un autremiracle a eu lieu quand des personnes venues des quatre coins des Etats-Unis se sont rassemblées. On m’a dit que c’était un miracle que des Américains aient pu accepter d’ête à l’écoute aussi longtemps sans se déplacer. Et c’est un miracle que j’ai reçu plus de dix applaudissements levés. Mais je vous avais dit que j’avais pris un bain froid et que je n’arrêtais pas de
tousser tout le temps.
Je délirais avec de la fièvre et de la fatigue. Mais je l’ai offert joyeusement vers le haut en sacrifice. Quel que soit le degré de notre souffrance, nous devons tout offrir joyeusement (nos souffrances). Alors vous devriez penser : « En faisant ainsi, il va y avoir une grande bénédiction. » Par contre,
il ne faut pas penser : « Que puis-je faire ? Je ne peux pas le faire.» Nous tous, faisons-le ( Offrons nos souffrances en sacrifice). J’étais donc extrêmement heureuse. « Jésus, si je ne peux pas faire bien ici, c’est votre volonté. Et si j’arrive à bien faire, c’est aussi votre volonté. Je Vous confie seulement mes lèvres. Je ne peux rien faire de plus. Que peut faire cette pécheresse? Seigneur, que je meurs ou que je vive, je Vous
appartiens. Seigneur, laissez-moi faire votre volonté. » J’ai
confié ma personne au Seigneur.
Je suis allée là-bas à 7h40 et j’ai quitté l’endroit à 16h00. Il y avait un intervenant nommé Joseph provenant de l’Union Soviétique. A part avoir écouté son intervention, je n’ai eu aucune pause y compris le temps imparti pour le repas. J’ai été interviewée par
les
chaînes de télévision et la presse. J’ai étéinterviewée ici et là. C’est pourquoi je n’ai pas pu retourner avant 16h00. Mais je n’avais pas du tout toussé jusqu’ici. C’est le Seigneur qui m’a guéri. Qu’importe ce qui arrive, nous devons nous offrir en sacrifice) avec beauté, (sans dire) : « Oh pourquoi suis-je malade ? Seigneur, puisque Vous m’avez appelé ici, pourquoi ne m’avez-Vous pas permis de prendre une douche avec
de l’eau chaude ? » A la place, il faut dire : « Oh, c’est ce
que le Seigneur a voulu pour moi. Il doit y avoir beaucoup de grâces (en offrant ce sacrifice). »
Donc, quand nous nous abandonnnons et travaillons pour le Seigneur et la Sainte Mère, le Seigneur et la Sainte Mère prendrons soin de nous. Nous n’avons qu’à nous donner nous-mêmes, à prêter nos lèvres.Nous sommes des êtres déffectueux. Mais puisque le Seigneur et la Sainte Mère
nous
ont appelés, nous nous confions à eux. L’Evêque Danylaka célébré la Messe de clôture et j’ai offert des fleurs blanches en contemplant les Mystères joyeux. L’evêque Danylak a offert des roses dorées en hommage aux Mystères glorieux, pendant que Joseph a offert des roses rouges en hommage aux Mystères douloureux.
Après la Messe, nous avions une audience avec les pèlerins. Tout à coup, Joseph est venu vers moi et m’a prise dans ses bras. J’ai eu le sentiment d’avoir été piquée par un aiguille. Alors, quand j’ai regardé son visage, ce n’était qu’une barbe. « Oh Seigneur, donnez à cette
âme
une grâce de guérison aussi forte que le mal que j’airessenti. »
Plus tard, j’ai appris qu’il avait le cancer. Plus de cent prêtres, deux cent religieuses, et plus de sept-mille fidèles. Tous étaient unis, la Messe était solennelle et remplie d’amour. Après la Messe, nous avons donc eu une audience avec l’Evêque Danylak et les prêtres sur le podium.
L’Evêque Danylak m’a dit: « Julia! C’était formidable! » Et les autres prêtres aussi m’ont louée. De plus, Frère Joseph est venu vers moi en disant: « Oh, j’ai vu beaucoup de personnes parler auparavant, mais je n’ai jamais vu quelqu’un parler avec un tel charisme puissant comme le vôtre.
» Il me tenait gentiment les mains. J’ai alors rétorqué: « Non, non, si j’ai fait quelque chose de bon, c’est Dieu qui l’a réalisé. Si j’ai fait quelque chose de mal, c’est de ma faute. » Il m’a répondu: « Oh, Julia ! Vous êtes si modeste. Je respecte et j’aime les prêtres, et je suis également persuadé (de la présence) de la Vierge Marie à Naju. » Cela n’a pas été réalisé
par le charisme d’une personne. Cela a été réalisé
par Jésus et la Sainte Mère.
Ce jour-là, je n’ai pas eu de temps pour me reposer. J’ai été occupée par les interviews des chaînes de télévision et des journaux. Le lendemain, l’événement était présenté dans les journaux pendant deux jours. On a dit que ça avait été aussi
publié
dans le "New York Time". Le 31 mars, j’ai été aviséepar la Maison Blanche que le Président Busch souhaitait me rencontrer à la Maison Blanche le 5 avril. Frère Joseph voulait m’accompagner mais on n’avait appelé que moi à la Maison Blanche sauf Joseph. LePrésident Bush m’a demandé de délivrer un message à ses secrétaires et ses aides les plus dignes de confiance dans le cadre d’un séminaire d’environ une
heure.
J’ai délivré les messages pendant une heure et demie. Tous les assistants les ont aimés et on dit : « Si vous les traduisez rapidement en anglais, nous les mettrons dans notre librairie et nous les diffuserons aux quatre coins des Etats-Unis. » Puis, le Président Busch a signé un projet de loi contre
l’avortement.
Cela a été réalisé par la Sainte Mère. J’ai été utilisée comme un instrument temporaire. L’Evêque Danylak m’a invitée à venir au Canada l’année suivante et il a visité Naju plusieurs fois depuis ce moment-là. Le 22 septembre 1995, l’Evêque Danylak, le Père Finn et le Père Lang ont célébré la Messe à l’endroit de l’actuelle Chapelle de l’Adoration du Précieux
Sang. L’Evêque a vu l’Eucharistie dans ma bouche qui s’est
transformée de manière visible aux yeux en Chair et en Sang sous la forme du Sacré-Coeur vivant.
Mais en 1998, “la proclamation’’ a paru. L’Evêque Danylak était tellement bouleversé qu’il a dit : « Il y a tant de signes miraculeux. Comment peuvent-ils faire une telle chose sans mener d’investigations appropriées ? » Il a aussi vu le miracle Eucharistique. Et il a dit : « Comment peuvent-ilsfaire
une telle “proclamation’’ sans même avoir investigué l’affaire? » Il était tellement contrarié qu’il m’a demandé de venir au Canada. Il disait qu’il allait approuver (ce miracle Eucharistique) au Canada. Mais, chers pèlerins! Je n’ai pas choisi la voie confortable. A la place, j’ai choisi avec vous le chemin du martyre et de la souffrance.
L’amour sublime du Seigneur et de la Sainte Mère à Naju aurait dû être diffusé à travers le monde entier mais cela n’a pas pu se réaliser. J’étais tellement troublée que je pensais devoir le dire. C’est pourquoi je me suis confessée : « Oh, est-ce que j’aurais dû
alller
au Canada puis revenir à Naju avec la reconnaissance en cours dela Sainte Mère ? » Mais je ne l’ai jamais regretté. J’ai choisi un chemin d’épeuves avec vous, voilà pourquoi je suis là devant vous maintenant. Je suis vraiment une personne indigne et insignifiante. Mais j’irai au Ciel avec vous, en se tenant mutuellement les mains les uns les autres et en pratiquant les Cinq Spiritualités. Donc, qu’importe les épreuves par lesquelles nous devons
passer, si nous nous confions entièrement au Seigneur, nous pouvons
aller au Ciel.
Je vous ai déjà parlé du Frère Joseph de l’Union Soviétique. L’Union Soviétique était un état communiste. Il n’était pas permis de croire en Dieu. Les gens qui croyaient en Dieu se cachaient dans les montagnes et priaient sous des arbres. Nous avons cette liberté de la foi. Il
y
a les épreuves de la persécution dans chacune de nos églisesparoissiales mais nous pouvons nous réunir librement ici. Nous pouvons être avec le Seigneur et la Sainte Mère. Mais eux, s’ils étaient reconnus comme des croyants, on les attrapait et leur posait des problèmes. Ainsi, un jour, Frère Joseph a prié ave quelques fidèles dans les montagnes. Puis il a été attrapé et emmmené aux autorités. Par la
suite, on l’a mis dans un entrepôt frigorifique parce qu’on le soupçonnait
d’être le chef d’un groupe de prière.
Bien que le réfrigérateur n’était pas branché, on ne pouvait survivre à l’intérieur à cause de l’insuffisance d’oxygène, n’est-ce pas ? Mais on l’avait enfermé là-dedans et vérouillé la porte de l’extérieur. Donc, trois jours après, des gens sont
venus
avec une civière pour retirer son corps. On a mis de côtéla civière et on a ouvert la porte de la chambre réfrigérée puis on a retrouvé Joseph assis à l’intérieur. Comment avait-il pu survivre en un tel lieu ? C’est la Sainte Mère qui est venue et qui l’a enveloppé de sa respiration et d’oxygène.
Il n’y a rien qui soit impossible au Seigneur et à la Sainte Mère. Pensez-y tous. Jésus, ne pouvait-Il pas ouvrir la porte de la chambre réfrigérée? Vous ne comprenez pas? Il l’a protégé tout en suivant les lois humaines. C’est pourquoi la Sainte Mère a continué de l’envelopper
de sa respiration, l’a pris dans ses bras le réchauffant sous sonmanteu et c’est pourquoi il a survécu. Même si vous êtes persécuté et vivez dans des temps difficiles, je vous prie d’offrir avec beauté en sacrifice tout cela. Alors, au dernier jour, vous irez au Ciel. Il ne faut pas penser à la difficulté, disant : « Pourquoi devrais-je aller à un pèlerinage de cette manière ? » Si vous tournez le dos, je ne peux
pas vous aider.
Si au mileu de vos persécutions, vous souffrez pour le Seigneur et la Sainte Mère, qu’est-ce que le Seigneur et la Sainte Mère vous donneront? Même si à cause des souffrances que nous recevons maintenant, tout est difficile et douloureux, ce n’est que si nous vivons selon le parole du Seigneur et de la sainte Mère,
que le dernier jour, nous serons guidés par les anges au milieudes acclamations des Saints au Ciel et que nous jouirons de la béatitude éternelle à côté de Jésus et de la Sainte Mère. Il n’y aura plus de mort, plus de faim, plus de souffrance et nous pourrons jouir ensemble du bonheur éternel Amen !
Si nous renonçons à nous-mêmes et nous offrons avec beauté en sacrifice vers le haut, nous pouvons jouir du bonheur éternel au Ciel. Autrefois quelqu’un avait demandé : « Oh, je ne sais pas pourquoi les femmes sont si fatiguées de leurs règles ? » Une personne lui a répondu
: «
Oh, c’est parce que Eve a pris le fruit interdit et qu’Adam l’aécoutée. Ensuite, il a donné une excuse. » Eh bien, au dernier jour, nous pourrons manger le fruit de l’arbre de la Vie au Ciel. Accumulons tous des mérites au Ciel.
Le témoignage de Soeur Vega vient d’être publié aujourd’hui. Il y a douze ans, Soeur Vega est venue à Naju et quelqu’un lui a donné un scapulaire de Naju. Le pèlerin coréen qui lui a donné le scapulaire il y a douze ans doit être ici maintenant. Mais, à ce moment-là, comme
elle
portait un chapelet autour du cou, elle s’est dit : « Oh, je leporterai la prochaine fois. » Le scapulaire marron est petit. Donc il a pu appaître insignifiant à ses yeux. C’est pourquoi elle l’a mis dans un tiroir. Plus tard, après avoir lu un article sur le scapulaire de Naju, elle a réalisé la valeur du scapulaire de Naju. Alors, à partir de ce moment-là, elle a commencé à porter le scapulaire de Naju, et le scapulaire marron lui
a apporté de nombreux miracles. Un prêtre a été
considérablement béni en portant ce scapulaire marron. Les scapulaires sont la cause de miracles dans le monde entier.
Alors, quand vous faites quelque chose de bien à quelqu’un… Si cette personne n’avait pas donné le scapulaire à Soeur Vega d’Indonésie, de tels miracles incroyables n’auraient pas eu lieu. Quoique des choses se passent sans qu’on le sache, l’arbre de la Vie peut être rempli de fruits. Je vous ai parlé
de
la pyramide auparavant. Je ne connais pas la personne qui le lui a donné,mais elle a été récompensée d’abondans mérites. Si quelqu’un comme Vega accepe Naju, accepte aussi les Messages de Naju, reconnaisse (la présence) de la Sainte Mère à Naju, est armée des Cinq Spiritualités et les pratique, c’est grâce à la personne qui l’a aidée à aller au Ciel.
Non seulement elle a guidé la Soeur Vega sur le chemin qui mène au Ciel, mais elle en a guidé beaucoup d’autres encore. Ce n’est pas comme le commerce en réseau dans le monde séculier. Il s’agit du commerce en réseau céleste. Donc, nous devons guider les gens autour de nous sur le chemin qui mène
au Ciel. Donc, si nous donnons quelque chose qui pourrait sembler insignifiant,mais qui est le fruit d’un grand amour, ne pensez pas que c’est une chose insignifiante. Quand nous faisons tout par amour, il y a beaucoup de miracles qui surviennent en retour.
Chers pèlerins, si nous pratiquons les Cinq Spiritualités, tous les démons seront vaincus. En 1978, j’étais enceinte de mon quatrième enfant.
Cet été-là a été vraiment chaud et on traversait une grande sécheresse. L’eau de notre puits était asséchée et je devais aller loin jusqu’au puits ouvert au public pour laver le linge. A ce moment-là, la grand-mère qui était propriétaire de la maison m’a
dit
en voyant cela : “ Tu ne devrais pas travailler si loin de la maison. Creusons le puits près de notre maison.” Il y avait un puits qu’on utilisait avec un seau. Comme le puits était asséché, à la place, nous devions puiser de l’eau à un puits éloigné. Alors je répliquais: “ Bien sûr! C’est à moi de le faire.” Mais elle insista: “ Ne dis pas ça. Creusons le fond asséché du puits.”
Alors, je lui répondis: “Oui ?” J’étais estomaquée parce que lorsque j’ai mis au monde mon troisième enfant, j’ai perdu beaucoup de sang. J’ai même perdu connaissance et ne pouvais plus avoir aucun autre traitement approprié. Je ne faisais que souffrir chez moi en luttant avec mes douleurs. Quand je pense
à ces jours-là, j’étais folle, n’est-ce pas ? Cela parce que même à l’hôpital, on m’a dit d’accoucher prématurément en considération de mon état de santé dangereux, cependant,ma belle-mère m’a dit de ne jamais aller à l’hôpital.
Mon beau-père était diplômé de l’université de Waseda au Japon, et ma belle-mère avait été hospitalisée à Tokyo auparavant pendant un mois non pas parce qu’elle était dans les douleurs de l’enfantement mais pour se préparer à donner naissance à mon
mari
Julio.
Cependant, elle insistait en me disant: « Des clous! il est hors de question que tu mettes au monde le bébé dans un hôpital. Le moment de la naissance du bébé est prédestiné. » Jusqu’alors, pendant deux mois et demie, j’ai souffert de douleurs aigues de l’enfantement chez moi. (Sous l’ordre
de ma belle-mère), je venais juste de retourner de Gwangju à la maison et j’étais entrée dans les douleurs de l’enfantement. Qu'est-ce que je pouvais faire d'autre? Julio m’a suggéré d’aller dans un hôpital mais j’ai refusé.
Comme ma grossesse s’était prolongée d’un mois et demi, la clinique orientale m’a dit que je ne pourrais pas mettre au monde le bébé. Mais ma mère pleurait et suppliait le pharmacien de me prescrire un remède pour me sauver et c’est ce qu’il fit. Finalement, le bébé est né recouvert
du
médicament liquide. A ce moment-là, j’étais presque morte. Après la naissance du troisième bébé, je pensais que je devais vraiment faire attention à mon bébé de seulement quatre mois qui était dans mon ventre. Mais à présent, cette paysanne me demandait de creuser le fond du puits. Or c’était un puits très profond.
La construction surélevée au dessus du sol mesurait à peu près un mètre de haut. Quant à la profondeur du puits, il mesurait 7 mètres. La femme m’avait dit de tenir la corde pour qu’elle puisse aller jusqu’au fond du puits où elle ramasserait la boue et la mettrait dans le seau. Alors, j’ai
dit:
« Oui, faisons-le. » Mais lorsqu’elle aperçut la profondeur du puits, elle cria : « Oh ! Comme ça fait peur! Je ne peux pas y alller ! »
Alors, je lui ai dit : « Eh bien, madame, c’est moi qui vais y aller. » Je suis donc descendue dans le fond du puits C’était tellement difficile, à peine étroit comme cela. Je suis donc descendue en prenant pied ici puis en prenant pied là de l’autre côté, puis en me tenant ici et ensuite là
à nouveau. La partie du mur en forme extrudée était de résistance trop faible pour marcher dessus. Cela n’avait pas été construit assez solidement pour qu’on puisse monter ou descendre dans le puits.
En me tenant à une petite pierre puis en marchant sur une autre, je suis finalement descendue peu à peu au fond du puits qui mesurait 8 mètres. Lorsque j’ai atteind le fond du puits, j’ai seulement plongé dans la boue. Le fond du puits s’est transformé en marécage. Après avoir plongé dans
la boue
froide, je me suis dit : « Ah !!! Je suis désolée mon bébé! Je suis désolée mon bébé ! » Le bébé n’aurait pas dû être exposé à une température si froide.
Et c’est avec la plus grande difficulté que j’ai réussi à sortir de la boue en me retenant à tout ce que je pouvais trouver sur le mur. Puis ensuite, j’ai ramassé la boue en la mettant dans le seau qui était coincé ainsi entre mes jambes. (A la fin, étendue des deux côtés du puits)
j’ai rempli la moitié du seau puis j’ai crié à la grand-mère : « Ca y est, c’est rempli. » Elle répondit : « Je ne peux pas bien le voir. » Alors j’ai à nouveau crié : « Ca y est, c’est rempli. » Mais elle continuait à ne pas pouvoir remonter le seau et disait : « Je ne peux pas bien le voir. » C’est pourquoi j’ai à nouveau crié : « Ca y est, c’est rempli. » Mais elle ne pouvait
toujours pas remonter le seau tout en disant : « C’est impossible. » J’ai donc réduit de plus en plus la quantité de boue. Mais la grand-mèrene pouvait toujours pas remonter le seau chargé de boue.
Je lui ai donc dit: « Alors, laisse-le. » Et moi, qui était enceinte, j’ai grimpé le puits en tirant le seau avec moi. Puis, je suis retournée dans le puits. Après l’avoir répété une vingtaine de fois, l’eau claire à commencé à faire son apparition. Je me suis exclaméedans mon coeur : « A la place de cette eau boueuse, je dois devenir de l’eau claire pour donner de l’eau pure aux gens. » J’ai escaladé à nouveau le puits tout en me souvenant de cette parole. La grand-mère était en train de compter chaque fois que j’entrais ou sortais du puits : « Une fois ! »,
« Deux fois ! », « Trois fois », «Vingt fois », «Trente fois » Après avoir ramassé la boue puis l’avoir mise dans le seau, je remontais du puis et redescendais à l’intérieur de manière répétitive. La grand-mère cria : « Trente-trois fois
! »
A ce moment-là, je ne savais pas que Jésus avait vécu jusqu’à 33 ans. Elle m’a alors dit : « Retournes-y encore deux fois de plus seulement. » Rien qu’une fois de plus, cela était difficile à faire.
Actuellement, je suis le type d’une personne qui peut faire tout ce que je veux faire seulement si j’ai envie de le faire. A présent, bien que mon corps ne me le permette pas volontiers, cependant je veux tout faire, je le veux. (Retour à l’histoire du puits) Au bout de la trente-troisième fois, mes mains et mes pieds s’étaient
recroquevillés. Je pensais que j’allais tomber au fond du puits si j’essayais d’y retourner. Comme j’avais cette pensée à l’esprit, je me suis évanouie juste à ce moment-là. Alors la grand-mère me secoua pour me réveiller et me dit : « Oh, je suis désolée, je t’ ai fait trop de demandes. Va te reposer. Va. »
Je suis allée me laver et j’ai réussi à nourrir mon bébé. Ensuite, je me suis endormie d’un profond sommeil comme si j’étais très fatiguée. Je n’étais pas sûre de m’être endormie ou d’avoir perdu conscience. Un moment après, la grand-mère m’a dit : «
Hé,
chère jeune femme ! L’eau vient de sortir! L’eau vient de sortir ! De l’eau pure! Viens juste pour le voir! »
Je me suis alors levée et je suis sortie pour aller voir. Un homme qui venait du village s’est approché, regarda et dit : « Oh, c’est vous qui avez creusé le puits ? » _ « Oui, c’est cette jeune femme qui l’a creusé ! » Il dit alors : « Quand est-ce que vous l’avez creusé ainsi
? »
Il y avait un amoncellement de boue dans le champs. Si le sol avait été sec, ce ne serait pas aussi lourd. Comme ça doit être lourd ! Une boue de marécage était entassée en hauteur dans le champs.
L’homme a dit: « C’est le travail d’une journée entière pour un jeune homme vigoureux. Comment une jeune femme si maigre comme vous a pu faire ce travail en une demi-journée ? » La grand-mère répondit : « Oui, c’est elle qui l’a fait ! » « Elle est aussi forte qu’Hercule! Ah! …
C’est
même un travail qu’un homme fort ne peut pas réaliser! » Il a été très surpris en voyant cela. En regardant dans le puits, j’ai vu qu’il y avait de l’eau en abondance.
Chers pèlerins, pensez seulement à l’eau boueuse pendant que je la ramassais. Quand je me suis mise à creuser la partie supérieure du fond du puits, l’eau était entièrement boueuse. On disait que ça prendrait des jours entiers pour que la boue s’enfonce et que l’eau redevienne claire. Mais ce n’est
qu’en quelques heures que l’eau a été purifiée en eau limide.
Tout allait bien pour mon bébé. Il était en bonne santé. Il n’ y avait rien de mal. Le miracle de l’amour a lieu lorsque nous nous offrons totalement aux autres D’ailleurs, cette histoire contient les Cinq Spiritualités. Lorsque la grand-mère m’a suggéré de creuser le fond du puits, j’étais
réellement effrayée puisque j’étais enceinte. Cependant, j’ai pensé : « Oui, je dois le faire pour mettre en pratique l’amour ! »
Chers pèlerins, c’est à travers cet acte d’amour que le miracle de l’amour s’est réalisé. (Amen !)
Alors que j’étais enceinte de mon quatrième enfant, dans les huit premiers mois, ma belle-mère venait souvent me voir pour me demander de l’argent. C’est pourquoi j’utilisais le feu de bois pour cuisiner afin d’épargner de l’argent. Nous avions déjà trois enfants. Ma mère faisait toutes sortes
de
travaux pour m’aider et subvenir aux besoins de mes cinq beaux-frères qui passaient l’examen du barreau. J’ai donc pris soin moi-même de tous mes propres enfants. Avec la grand-mère, j’ai souvent ramassé les feuilles mortes pour alimenter le feu. Nous utilisions des feuilles sèches et parfois nous achetions des pins que nous utilisions pour nous chauffer.
En hiver, nous achetions des pins dans la région, une quantité aussi petite que ceci. C’était aussi cher. J’ai donc demandé à la grand-mère qui était propriétaire de notre logement où l’on pouvait se procurer du bois de chauffage à prix raisonnable. Elle m’a renseigné
me
disant qu’il y avait un endroit à huit kilomètres de la maison. J’y suis allée en traînant une charette, j’étais dans mon huitième mois de grossesse. J’ai acheté dix fagots de bois à cet endroit. La taille des fagots était immense et la quantité représentait le double de ce que l’on vendait dans les magasins de ma ville. Le vendeur, celui qui coupait les arbres, m’a dit : « Jeune femme, allez-vous pouvoir tout emporter ? »
Je lui ai répondu que j’en étais capable. « Mais la charette est déjà pleine avec cinq fagots. » dit-il. Alors je lui ai répliqué: « Ca va, je peux prendre tous les dix fagots! »
Le veudeur dit: « Oh, mon Dieu! C’est très gentil à vous. » Il m’a fait un rabais. Il voulait me donner un fagot de plus gratuitement. Mais comme c’était déjà trop lourd, il dit : « A la place du fagot gratuit, je vais vous faire un prix de rabais. » C’est pourquoi je lui ai répondu
: « D’accord, je vais tout prendre. » Il m’a alors dit qu’il allait me faire un prix de rabais y compris le fagot gratuit, en me disant : « Vous avez une bonne langue. » Chers pèlerins ! Il n’y a rien de mal à avoir une bonne langue. Employons de jolis mots. Le vendeur de bois dit à nouveau: « Belle personne, belle parole! » j’ai chargé onze fagots de bois sur la charette. Il y en avait tant. La charette se balançait mais le vendeur de
bois avait relié soigneusement les fagots. Je l’ai rapporté à la maison fredonnant de joie.
“Ouah! Si je les avais achetés en ville, jamais ils n’auraient été si bon marché.” J’étais heureuse. Julio, mon mari vient d’entendre pour la première fois cette histoire. Je n’ai pas l’habitude de raconter quelque chose à Julio, je ne lui parle pas de mes difficultés. Même
lorsque
ma belle-mère me demandait si souvent de l’argent. Je ne lui en ai jamais parlé.
Même lorsque j’ai été extrêmement pauvre de cette manière là, je ne me suis jamais plainte et je ne lui en ai jamais parlé. Lorsque j’ai dégagé les fagots de bois à la maison, la vieille dame les regardait en s’écriant : « Qu’est-ce que tu as fait ? Seulement cinq
fagots
sont déjà trop lourds, comment as-tu fait pour en rapporter autant ? » Je lui ai répondu : « Oui, tout va bien. »
La remorque chargée au maximum se balançait de manière instable. Vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point elle était remplie. La remorque était déjà pleinement remplie avec cinq fagots. Mais avec onze fagots de bois, à quel point n’était-elle pas surchargée ? Même
soumise à une légère inclinaison, la remorque surchargée aurait oscillé comme ça. Elle aurait pu se renverser. Comme j’étais heureuse avec cet amas de bois haut comme une montagne ! De tels fagots à moitié prix! Comment n’aurais-je pas pu être heureuse?
Maintenant nous vivons dans de meilleurs temps qu’autrefois. Il y a encore beaucoup de peuples affamés. De nos jours, le fossé entre les générations est flagrant même avec une différence d’écart d’une seule année. La vieille génération vivait dans la pauvreté. Alors, comme
j’étais heureuse à ce moment-là lorsque j’ai pu avoir beaucoup de fagots de bois à prix réduit. J’ai pu maintenir la pièce chaude. J’avais un large sourire et je fredonnais en même temps.
Si nous sommes en colère après n’importe quoi, des choses innombrables peuvent aussi nous mettre en colère. Qu’en serait-il si je pensais ainsi : « Oh, pourquoi est-ce que je dois tirer cette lourde charette surchargée dans le but de financer les études universitaires de mes beaux-frères alors que
je suis
enceinte de huit mois et que j’ai d’autres enfants à élever ? » Une telle pensée pourrait me mettre en colère. Mais si je me dis : « Wouah, j’ai acheté du bon feu de bois à un si bon prix ! », alors cela me ferait chantonner. Il n’y a aucune raison de se mettre en colère.
Et si le bébé a mange quelque chose de mauvais, c’est juste de dire: « Oh, c’est vraiment de ma faute! J’ai fait quelque chose de mal. » Mais si vous dites avec votre voix en colère: « Pourquoi as-tu touché à celà ? Pourquoi as-tu fait cela ?», alors c’est dommage spirituel pour
vous.
Voilà pourquoi les Cinq Spiritualités sont si importantes. En me frappant la poitrine, « C’est de ma faute ! Je suis désolée mon cher bébé. » En descendant dans le puits, « Oh mon cher bébé qui es dans mon ventre! Nous mettons en pratique l’amour. Offrons-le vers le haut en sacrifice. » « Je suis désolée. Je vous en prie, supporte-le, sois patients et offre-le en sacrifice vers le haut. » Je
pense que j’ai entendu la réponse du bébé à ce moment-là : « Oui maman. »
J’ai vécu beaucoup de moments dangereux pendant ma grossesse avec mon plus jeune enfant. Malgré cela il est né facilement. J’ai tant souffert les douleurs de l’enfantement quand j’ai donné naissance à mon troisième enfant, c’est pourquoi, cette fois-ci je suis allée à l’hôpital. Ma
mère
et ma tante sont venues me voir durant l’accouchement. Contrairement à maintenant, en ces temps-là, on pouvait regarder par la fenêtre dans la salle d’accouchement. Pendant les heures de travail (pour l’accouchement), je leur disais à travers la fenêtre : « Ne vous inquiétez pas ! » L’infirmière a alors dit : « Je n’ai jamais vu une personne telle que vous. »
Qu’importe la douleur, même si on est en train de subir les douleurs de l’enfantement, tout dépend de la manière bonne ou gracieuse avec laquelle on essaye d’offrir en sacrifice (nos souffrances). On peut mieux mettre en pratique la spiritualité de « La Vie Consacrée. ». Si vous pensez que vous ne pouvez
pas l’offrir en sacrifice parce que vous êtes malade, alors il n’y a aucune réponse. Nous devons jouir du Ciel en offrant gracieusement toutes ces souffrances. Si nous nous armons des Cinq Spiritualités, nous pouvons aller au Ciel. Mais si vous vous retournez lâchement en rencontrant de petits obstacles et en disant : « Comment puis-je faire cela ? », alors le Ciel semble être éloigné de mille lieues.
Courir sur un tapis de jogging les dix premières minutes, c’est dur. Mais si vous prévoyez en disant : « Je vais le faire pendant une heure aujourd’hui. », alors, cette heure vous semblera passablement longue. Mais si vous dites à la place : « Oh, je dois le faire pendant au moins dix minutes. » Alors
après
dix minutes, vous vous direz : « D’accord, continuons encore deux minutes de plus. » Puis à nouveau : « Continuons trois minutes de plus. » « Continuons cinq minutes de plus. » Ainsi une demi-heure passe plus facilement. C’est comme ça que vous pouvez finalement remplir une heure.
Si vous montez une piste en haute montagne et ne regardez que le haut sentier, le sentier devient escarpé et haut. C’est alors difficile d’atteindre le but. Mais c’est facile, si vous regardez le sol en marchant. Ne marchez pas en regardant la destination. Lorsque vous grimpez une montagne en regardant vers le bas, vous ne serez pas
conscients
si la route est escarpée ou non. Et si vous vous arrêtez et vous retournez, vous allez réaliser que vous êtes déjà sur les hauteurs. Donc, ne pensez pas que c’est une chose difficile que de pratiquer les Cinq Spiritualités. Pratiquez-les une par une.
Si tout semble insignifiant, ne le négligez pas et offrez tout en sacrifice avec beauté à l’aide de la spiritualité de Semchigo. Comme je l’ai toujours dit, je pense que nous ne pouvons aller au Ciel que par la pratique de la spiritualité de Semchigo. L’idée est toujours dans ma pensée. Faites tout
avec
l’esprit de « Semchigo ».
Lorsque j’ai été violemment agressée, je l’ai assumé en disant « Semchigo : à présent je suis aimée. » Si quelqu’un m’ordonne de faire trop de travail, je ne vais pas penser : « Oh, je suis si fatiguée. Pourquoi dois-je seulement travailler ? » A la place, c’est mieux
de penser : « Il pense que je suis capable d’accomplir ce travail. » Si vous pouvez le faire à l’aide des Cinq Spiritualités, le Ciel est avec vous.
Consacrons le reste de nos vies au Seigneur et à la Sainte Mère, ce qui semble long si nous pensons ainsi ou nous semble court si nous pensons comme ça aussi. Puis prenez un nouveau départ à ce moment-là. Même si vous avez vécu dans une mauvaise direction, à présent vous pouvez recommencer
en suivant un nouveau chemin. Prenons tous un nouveau départ. Amen! Merci!
Méditons le Message d’Amour de Jésus et de la Sainte Mère. Et méditons bien ce que Jésus et la Sainte Mère nous disent aujourd’hui, pas seulement en réfléchissant avec notre tête mais aussi avec notre coeur, puis mettons-le en pratique.
Ceci est le Message d’Amour de Jésus du 1er mars 2018.
« Mes chers enfants! Ceux qui font obstruction à la vérité et répandent l’erreur se frapperont sûrement la poitrine et gémiront au dernier jour, mais si vous mettez en pratique les Messages d’Amour que Moi et Ma Mère vous ont donnés, si vous vous armez en transformant chaque
chose
dans votre vie en prière en l’offrant gracieusement en offrande vers le haut, non seulement vous jouirez du bonheur éternel dans le prochain monde mais vous recevrez également tout en ce monde. » Amen !
Voici le Message d’Amour de la Sainte Mère du 10 mars 2011.
« Tous mes enfants bien-aimés, vous qui suivez mon Fils Jésus ainsi que Moi-même, vous ne devez pas vous inquiéter mais manifester le pouvoir d’Amour plus vigoureusement et travailler de manière héroique et plus loyale. Si vous qui êtes appelés mes vrais fils et mes vraies filles,
il vous faut seulement ne pas tourner votre dos, et alors vous serez protégés et gardés par mon Fils Jésus et mon manteau indépendemment des calamités de la nature qui vont avoir lieu, et le dernier jour, vous serez escortés par les anges au Ciel qui est le Royaume du Seigneur qui n’est rempli que de joie, d’amour et de paix et vous jouirez de la vie éternelle. » Amen!
Que les Messages d’Amour de Jésus et de la Sainte Mère se réalisent pour chacun de vous comme cela vient d’être annoncé.
Fermez vos yeux et remettez-vous entièrement au Seigneur et à la Sainte Mère. Toute ma peine, toute ma détresse, toute ma tristesse, toutes mes maladies, Même si nous ne savons pas quelle maladie particulière nous avons avec nous parmi les 12,420 maladies existantes, le Seigneur nous guérira si nous
offrons
en sacrifice toutes nos souffrances avec beauté et les confions au Seigneur.
Bien que nous soyons faibles et indignes, le Seigneur a personnellement appelé et choisi chacun de nous. Alors, comme des enfants qui sont appelés, que nos vies changent et que nous devenions des instruments pour travailler pour la gloire de Dieu.
Seigneur, nous sommes sujets à beaucoup de blessures dans ce monde séculier. Nous vous en prions, guérissez toutes nos blessures aujourd’hui. Nous allons prendre un nouveau départ. (Amen!) Même si quelqu’un nous afflige et blesse, je Vous en prie d’implanter dans notre esprit (la spiritualité de ) Semchigo,
en considérant que nous sommes aimés par cette personne et aidez-nous à l’offrir gracieusement en sacrifice. Puis apprenez-nous comment rester silencieux.
Jésus, dirigez-nous pour que nous ne disions que ce que nous devons dire et que nous ne disions aucune chose inutile. Bénissez nos lèvres et nos langues pour toujours. Jésus, étendez Vos mains au pouvoir divin et posez-les sur chacun de nous. Pour chacune de nos cellules, de la tête jusqu’aux doigts de pied,
nous
vous prions de nous opérer avec le pouvoir du Saint Esprit.
Jésus, qu’y a-t-il que vous ne puissiez pas faire? Non seulement pendant le temps où vous étiez sur terre, mais aussi aujourd’hui, les morts reviennent à la vie, les mourants survivent, les malades sont guéris (à Naju).
Pendant la vie de Jésus sur terre, la fille de Jaïrus a ressuscité, le fils de la veuve a ressuscité, Lazare qui était mort est revenu à la vie. Lazare était mort et sentait la pourriture depuis déjà quelques jours, mais lorsque Jésus a dit avec ces paroles « Lazare, sors !
»,
alors Lazare est sorti de la tombe avec ses mains liées et ses pieds liés avec les bandes d’enterrement. Jésus, je Vous en prie, donnez-nous Votre seule parole : « Mes fils et mes filles bien-aimés, soyez guéris ! » (Amen)
Jésus, Vous faites des miracles sur tous ces enfants, le miracle étonnant d’Amour qui m’a guérie. Faites de nous Vos instruments pour que nous Vous donnions au moins un minimum d’aide et que nous Vous consolions. Puis accomplissez Votre miracle d’Amour, nous utilisant comme Vos instruments. Enfin, que le Seigneur soit honoré
et que la Sainte Vierge soit réconfortée et que chacun de nous soit sans cesse reconnaissant.
Oh Seigneur, Vous qui connaissez toute la tristesse de ce pécheur,
lavez les péchés de mon passé avec Votre Précieux Sang.
Serrez dans vos bras ce pécheur égaré.
Seigneur,Vous êtes le Seul sur lequel on peut compter.
Ce pécheur en agonie errait,
Jésus et la Sainte Mère m’ont appelés.
C’est en disant C’est de ma faute et Amen que je suis venue à Jésus.
C’est en pratiquant Les Prières de la Vie
et La Vie Consacrée avec Semchigo.
Ce pécheur que je suis se plaint en disant: “Je suis seule! Je suis triste ! "
C’est avec l’Offrande de ma vie en répondant Amen
que je suis là pour voir la Sainte Mère.
Lorsque je mets en pratique Semchigo, Les Prières de la Vie et,
et C’est de ma faute Vraiment, Les Cinq Spiritualités,
c’est c’est mon repos, mon sabbat.
Ce pécheur que je suis et qui n’a pas réalisé son péché d’autrefois.
Mais à présent, dans une spiritualité grâce
à laquelle j’accepte tout comme étant de Ma faute,
Je mettrai en pratique Les Cinq Spiritualités
du Seigneur et de la Sainte Mère.
En pratiquant Les Prières de la Vie, je mènerai une vie de Amen.
Maintenant, tous mes lourds péchés, toutes mes plaies sont guéris.
Le Précieux Sang de Notre Seigneur et
les Larmes de Sang de la Sainte Mère m’ont sauvés la vie.
Je me convertirai en pratiquant la spiritualité de
La Vie Consacrée, Les Prières de la Vie et de Amen.
C’est par la pratique de Semchigo et
C’est de ma faute que je serai armée des Cinq Spiritualités.
Je vais mettre en pratique Les Cinq Spiritualités. Amen.