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- Signification des signes à Naju


- Qui est Julia Kim?

- Cinq parcours 
d’exercise spirituel pour la sanctification


- Le Témoignage
et l'
Expérience de sa foi, Julia


- Les témoignages de Julia au cours de la veillée de prières du premier samedi
 

- La douleur de Julia
comme âme de
victime

 

 

Extraits du témoignage de Julia et de sa prière de guérison,
(Le 5 novembre 2016)

 

https://youtu.be/_ffPH79ezgs


bullet03_glitter.gif  Loué soit le Seigneur! Louée soit la Sainte Mère!

J’ai beau répéter souvent ce que j’ai déjà dit maintes fois, mais vous semblez l’oublier dès que vous retournez chez vous en dépit du fait que vous répondu « Amen » à mon discours, vous repentant de vos péchés en pleurant, vous semblez l’oubliez aussitôt.

Non, nous ne devrions pas oublier facilement comme cela, c’est comme si on avait construit une maison sur le sable. Nous devrions construire une maison sur le roc, selon Évangile selon saint Matthieu, 7:24~27.

"Celui qui entend les paroles que je dis là et les met en pratique est comparable à un homme prévoyant qui a construit sa maison sur le roc."

Tant de personnes construisent leur maison sur le sable. Celles qui ne mettent pas en pratique la Parole de Dieu après l’avoir écoutée, ressemble à celles qui ont construit leur maison sur le sable.

Elle s’écroule même à cause d’un faible vent. Jésus parla alors en paraboles. Jésus, où est-ce qu’Il a semé ? (sur un sol riche !)

Mais si nous n’acceptons pas vraiment la Parole de Dieu en abusant de notre libre arbitre, parce que nons n'avons pas mis en pratique bien la parole de Jésus, même si la semence tombe dans la bonne terre. la semence tombe sur le sable ou le roc... La semence de la parole tombe sur le sentier, et les oiseaux du ciel la dévorent. Aussi la semence tombe parmi les ronces. Ce qui est tombé dans les ronces, ce sont les gens qui ont entendu, mais qui sont étouffés parce que nous ne pratiquions pas la parole de Dieu.

Nous ne savons vraiment pas quand le châtiment de Dieu tombera sur nous. Nous devrions être éveillés. Peu importe combien vous pouvez entendre de bons mots, si vous ne les mettez pas en pratique, ce qui serait utilisation de vous?

Vous qui êtes ici, vous suivez bien la Parole de Dieu, mais je vois beaucoup de gens qui ne le font pas. Je me suis écriée bien des fois en vous disant qu’il fallait porter beaucoup de fruits de l’arbre de la vie parce que nous sommes sur terre. Si nous faisons le mal, les fruits du mal pousseront sur l’arbre du mal. Aujourd’hui je voudrais vous parler des livrets bancaires du bien et du mal.

Faisons sans cesse des dépôts sur le bon carnet bancaire. Maintenant nous avons fait un dépôt de beaucoup d’actions mauvaises sur le compte du mal. Vous n’êtes pas ce genre de personnes, n’est-ce pas ? Mais, s’il y a une chose, …

Hâtons-nous de se retirer du livret bancaire du mal et déposons toujours plus sur du livret bancaire du bon afin que nous puissions aller au ciel. Alors, Comment pouvons-nous faire un dépôt sur le bon compte bancaire ? (Par les Cinq Spiritualités) Amen!

Il y a la parabole des dix vierges. Les vierges avisées ont attendu le jeune époux avec une lampe allumée approvisionnée d’huile. Mais les vierges folles ont pris leur lampe sans emporter d’huile. C’est pourquoi dès que l’époux est entré, les vierges prévoyantes sont entrées dans la salle de fête des noces puisqu’elles avaient fait provision d’huile.

Mais, alors les vierges insouciantes ont demandé aux vierges prévoyantes, "Donnez-nous de votre huile." Et les prévoyantes leur répondirent: “Si nous partageons l’huile avec vous, jamais cela ne suffira pour nous et pour vous, allez plutôt chez les marchands vous en acheter.” Pendant qu'ils allèrent en acheter, la porte de la fête de noces fut fermée.

Chers pèlerins ! Que se passera-t-il si nous ne nous repentons pas de nos péchés jusqu’à la venue du châtiment ? Nous ne savons pas où aller. Nous pourrions tomber dans le feu enflammé de sulfure.

Même si le feu enflammé de sulfure tombe soudain sur ce monde mais que nous soyons armés des Cinq Spiritualités et que notre corps meurt, nos âmes pourront aller au Ciel.

Prenons un nouveau départ d'aujourd'hui ! Amen ! Armons nous-mêmes des Cinq Spiritualités. Faisons-le pour la chère vie ! (Amen !) Il n’y a rien qu’on ne puisse pas faire quand on le fait pour la chère vie !

Quelle différence quand nous regardons les autres de manière positive ou de manière négative ayant un préjugé. Ce n’est pas dès ma tendre jeunesse que j’ai appris à aimer tout le monde. J’ai dirigé un salon de coiffure avant de me marier, alors que je ne connaissais pas Dieu.

Je ne coiffais pas exprès les filles du bar, celles du barbier, celles du salon de coiffure pour hommes, celles de la boutique de rasage. Lorsque je ne m’occupais pas d’elles, même si c’était leur tour, elles me disaient : « Pourquoi pas moi ? » Et je leur répondais : « Ah, veuillez attendre un moment, s’il vous plaît. » De cette manière, je les faisais attendre jusqu’à ce qu’elles quittent le magasin. Je ne pouvais pas supporter de leur dire seulement « Vas-t-en », mais je ne les considérais pas de manière aimable.

Et cela parce que je savais comment elles étaient. Lorsqu’une fille du salon de coiffure pour hommes arrivait dans mon magasin, je ne pouvais pas m’occuper d’elle à cause de sa mauvaise odeur. C’était une odeur nauséabonde. Elle gagnait de l’argent en emmenant les hommes chaque jour les hommes qu’elle les rasaient dans sa chambre.

Mais, après avoir connu Dieu, j’ai eu pitié d’elles en dirigeant mon salon de coiffure. Bien que je détestais que les gens viennent près de moi, comme elles n’avaient aucun endroit pour gémir, (je les laissais) m’embrasser en pleurant : « Ma sœur, ma sœur. » parce que je les aimais tant. Alors, je les serrais dans mes bras en disant : « Oui, oui ! », comme le sein de maman.

Quand j’avais mon salon de coiffure, mon mari Julio avait l’habitude de me ramener à la maison après avoir fini son travail. Cependant, plusieurs jours il ne pouvait pas le faire parce que les clients continuaient de venir tard le soir. C’est pourquoi je rentrais seule à la maison en marchant dehors en pleine nuit. C’est alors que des hommes commencèrent à me suivre.

Un soir, un homme n’arrêtait pas de me suivre, alors je me suis précipitée dans une maison en disant: “Mon frère, mon frère ! » Alors quelqu’un dit : « Quel frère cherchez-vous ? » Je répondis : « Quelqu’un est en train de me suivre. » Puis cette personne m’aida en disant : « Oui, Entre vite ici, entre. »

Il y a eu beaucoup d’occasions semblables à celle-ci. C’est pourquoi quand on a entendu dire que quelqu’un était en train de construire une nouvelle maison juste à droite de mon salon de coiffure, nous avons décidé de déménager dans cette maison.

J’ai rencontré beaucoup de menteurs. Le propriétaire de la maison m’avait promis qu’il me fournirait trois pièces, un petit grenier, etc. … Mais en réalité, quand je vins la voir, il n’y avait qu’une seule pièce. J’ai alors demandé : « Pourquoi n’y-a-t-il qu’une seule pièce ? » Il proféra : "J’aménagerai d’autres pièces après la cérémonie de l’achèvement de la maison." Quel sens cela pouvait-il avoir « après la cérémonie de l’achèvement de la maison » ?

C’est tout ce qu’il fit pour moi. Il termina en disant seulement ces quelques mots. Je voulais trois pièces parce que ma mère habiterait avec nous. Comment pouvait-on vivre ensemble dans une seule pièce ? (4 enfants, sa mère et son mari)

Je lui ai demandé de nous mettre une porte coulissante au milieu. Il a rétorqué : « Faites-le vous-même. » C’est incroyable comme il avait changé ! Mais j’allais bien puisque je m’étais armée du semchigo, une des Cinq Spiritualités. Je pensais : « C’est bien qu’il m’ait déjà donné plusieurs pièces ! »

Il nous demanda d’enlever la porte coulissante lorsque nous déménagerions. Que ferions-nous donc de cette porte de séparation ? Dans un tel cas, ce serait bien d’offrir en sacrifice vers le haut. "Offrez tout simplement en sacrifice". Dans de tels cas, on pourrait être en colère si on menait une vie mondaine. Mais ce n’est pas nécessaire de se mettre en colère si on pratique l’esprit de Semchigo, car c’est comme s’il y avait eu deux pièces en faisant nous-mêmes la porte coulissante.

Alors nous avons aménagé la maison. Quand nous avions commencé le salon de coiffure, il n’y avait pas de bar, ni devant ni derrière le magasin. Soudain est apparu un bar ici et un bar là. Et oh, mon Dieu ! Beaucoup de nouveaux bars ont fait leur apparition.

Le propriétaire du bar en face de chez moi est venu au salon de coiffure ! A cette époque, je faisais payer 1000 wons pour ce genre de coiffure. Mais elle me demanda de lui faire une réduction pour les filles travaillant dans son bar. J’ai eu pitié et j’ai accepté. Mais elle n’a jamais payé pour cela. Les filles signaient seulement pour crédit dans mon livre de compte.

Nos coiffeurs n’ont jamais touché aux cheveux des filles travaillant dans le bar. Au lieu de cela, c’était moi qui faisait tout cela avec amour. Ainsi quand elles venaient et venaient, je leur faisais à nouveau leur coiffure. Combien est-ce que ça coûtait une partie de la coiffure ? Ca coûtait 250 wons. Je le faisais pour 500 wons (les deux côtés). A présent, ça coûte 1500wons cette partie comprise. Mais je ne recevais que 250 wons de leur part. Finalement le total des impayés s’élevait à 360,000 wons.

Comme la Sainte Mère versait des larmes, 3000 à 4000 pèlerins venaient chaque jour (au salon de coiffure). C’est pourquoi j’ai pensé qu’il serait mieux d’arrêter le salon de coiffure à la fois pour la Sainte Mère et pour retrouver notre vieille vue de Bong Il-dong, le grand-père.

Avant de fermer le salon de coiffure, j’ai essayé de recevoir tous les impayés pour leurs coiffures mais je n’ai pas pu le faire. (*C’est difficile pour Julia de demander de l’argent) Un jour, je sortis environ dix heures et rencontra la propriétaire du bar. Je lui demandai prudemment : « Si cela ne vous fait rien, pourriez-vous juste me rembourser 20,000 wons. » Elle répondit : « Avez-vous reçu la signature des filles ? »

Je répondis : “Chacune de vous a signé sur mon livre de comptes, n’est-ce pas ?” Mais peu de temps après, huit filles du bar et le couple propriétaire du bar descendirent, me renversèrent puis 10 personnes commencèrent à me battre sévèrement en disant : “Toi, misérable voleuse !” Elles empoignèrent ma tête et la cognèrent sur le sol cimenté. Une autre fille se mit à me mordre la peau jusqu’à ce que ça fasse un trou.

Cela a continué de dix heures(a.m) jusqu'au soir. Vous pouvez vous imaginer à quel point elles m’ont battu. Quant aux clientes qui attendaient leur tour depuis plus de quatre heures pour être coiffées, elles furent fâchées. Mais les filles du bar versèrent un sceau d’eau sur chacune de ces clientes.

Quand j’y repense à présent, cette violence qui a eu lieu était irraisonnable. Quand nous recevons l’amour de Dieu, une telle chose improbable à se réaliser peut avoir lieu en réalité. C'est le point capital, chers pèlerins, Offrons-le gracieusement en sacrifice vers le haut. Lorsque quelque chose d’inattendu a lieu, Pensez : "Ah! Comme mon Seigneur m'aime tellement pour qu'il m'a accordé ce tel amour." Alors il n’y aura plus rien qui ne puisse être offert en sacrifice.

Mais si nous n’aimons pas la façon de parler des choses banales d’une personne, nous le prenons négativement et nous commençons à haïr cette personne. C’est terrible si nous faisons une telle chose.

J’ai perdu une poignée de mes cheveux à cause de leur violence. Pendant que j’étais battue, je pensais : "Ah ! Jésus a été battu encore plus fort que ça certainement. Plus exactement, ça a été plus pénible que ce que j’ai reçu." Alors je pourrais l’offrir en sacrifice vers le haut pour que les pécheurs se repentent. "Ah ! Comme je suis aimée de Dieu maintenant !"

Toutefois mes clients se mirent encore plus en colère me disant : "Donne-leur un morceau de toi !" Un moment plus tard, la femme du bar m’apporta un million en nouveaux billets de 10,000 wons puis me dit : « Combien mes filles vous doivent-elles ? » Et je lui montrai le livret de comptes.

Soudain, elle s’écria : "Quelle chienne ! Ce serait mieux de donner l’argent aux mendiants qui passent dans la rue qu’à toi !" Alors elle commença à me frapper sur les joues avec le tas de billets. Oh ! Comme j’étais reconnaissante ! Vous apprendrez à être reconnaissant en offrant vers le haut les prières de la vie. C’est vraiment une chose qui mérite la reconnaissance.

Si nous voulons éclater de colère contre ce genre de personnes, nous pouvons souvent le faire. Mais chers pèlerins, soyons reconnaissants! nous devrions prier comme cela : « Oh, Jésus ! Je vous remercie ! Je vous en prie, puissent cent personnes se repentir comme le nombre de ces billets à chaque fois que je serais battue. Puissent cent personnes être sauvées !

Cela ferait 1000 personnes si je suis battue dix fois, n’est-ce pas ? Si je suis frappée dix fois sur les deux joues, 2000 personnes seront sauvées. La transformation de nos vies en prières est vraiment bonne comme cela. J’étais en train de pleurer quand une cliente me dit : « Ne pleure pas. Ne pleure pas mais dénonce-les à la police. »

“Non, je ne pleure pas parce que j’ai été battue. Mais parce que le Cœur de Notre Seigneur et le Cœur de la Sainte Mère sont tellement blessés. Et comme ils sont pauvres ! Après qu’elles m’eurent battu sauvagement, qu’elles eurent déchiré les rideaux et me mordirent, j’étais incapable de remuer même un seul doigt. Comment pourrais-je coiffer mes clientes ?

En plein ces entre-faits, une femme entra et me demanda de la coiffer. Bien qu’elle reconnaissait ma situation, en effet j’avais la figure gravement blessée, et que je n’étais pas en mesure de le faire, elle ne voulait personne d’autre que moi pour la coiffer. Je ne pouvais refuser alors j’ai obtempéré à sa demande.

"Oh, Seigneur! Vous avez pardonné à vos bourreaux au moment de votre mort en priant ainsi : « Père, pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font. » Ainsi maintenant, je respecterai Votre Cœur !"

Après avoir fini de lui arranger les cheveux en faisant beaucoup d’efforts, elles défirent la coiffure à nouveau puis éparpillèrent les cheveux, en disant : (chop, chop, chop, un mot mimétique), "Toi la servante, tu appelles ça une coiffure !" Comme j’étais navrée pour la cliente, de plus elle ne connaissait pas Dieu et se mit en colère. J’ai essayé de la calmer en lui disant : « Tout va bien. Je reçois l’amour de Dieu. »

Leur violence commença de 10h00 du matin jusqu’à 18h00 quand Julio revint à la maison après son travail. Ils crièrent à mon mari : "Votre femme est une prostituée, vous le savez ? Pauvre sot, pourquoi est-ce que vous vivez ensemble avec une prostituée ?" Elles disaient cela parce que beaucoup d’hommes allaient et venaient à mon salon de coiffure où la statue de la Sainte Mère versait des larmes. "Pendant que vous dormiez la nuit dernière, combien de fois votre femme a-t-elle commis l’adultère avec eux, vous le savez, hum ?"

Mais Julio ne répondit pas, il ne fit qu’entrer dans la pièce où la statue de la Sainte Mère était précieusement conservée et se mit à genoux pour prier. En voyant cela, l’une des clientes se leva et proféra : « Pourquoi votre mari fait-il comme ça ? Comment peut-il agir ainsi alors queles choses en sont venues là ! Sa femme a été battue et persécutée si gravement ! »

«Au lieu de cela, il m’énerve» Il y a un dicton : "Être faussement accusé de vol peut blanchir. mais, Rien ne vaut une femme vertueuse." Il aurait pu leur parler, ne serait-ce qu’un mot pour l’amour de sa pauvre femme ! Comment est-ce qu’il a pu seulement entrer dans la pièce derrière sa femme aussi bonne qui souffre et qui est sans défense !!!

Chers pèlerins, c’est cela « L’Amour de Dieu ». J’ai dit : « C’est l’amour. » Vous comprenez ? Nous devrions être capable de SENTIR l’amour, sinon nous ne pouvons rien faire de bien, nous nous rendons incapables d’entrer au Ciel. En fait, on peut mener une vie facile indépendamment de la question du salut en n’aimant pas la voie étroite qui est étroite et difficile à franchir contrairement à la voie large et facile. mais, nous devons aller de la rue étroite.

Qu’importe la difficulté, nous devons avancer sur la voie étroite en nous armant des Cinq Spiritualités, en sentant l’amour malgré les difficultés.

Cela ne devrait pas être une bataille entre êtres humains qu’on considère comme des ennemis, ce que nous avons à confronter et à combattre, ce ne sont pas des êtres humains mais les démons et Satan. Parce que la Sainte Mère pleure ici, les démons foisonnent pour m’affliger. » Je dis alors calmement à la cliente comme si elle n’avait aucune connaissance au sujet des démons.

Comme je continuais à lui expliquer davantage, elle s’exclama : « Ah, vous êtes vraiment si bonne ! C’est pourquoi la Sainte Mère pleure à cet endroit. J’ai pris ma décision maintenant ! » « Quelle décision ? » « J’irai à l’église à partir de demain. Comme vous êtes aussi bonne, vous allez à l’église ! »

Qu’importe la manière dont les démons persécuteurs nous attaquent, si seulement, nous qui sommes supposés connaître le Seigneur et la Sainte Mère, nous savons rester éveillés, les gens reconnaîtront la valeur de Naju à travers nous. Je suis certaine que beaucoup d’entre vous l’ont expérimenté.

Un jour, un dentiste vint me rendre visite et me dit : « Oh, Julia ! Je vous remercie » Je répliquais : « Ce n’est qu’au Seigneur qu’il faut rendre grâces. » «Oh ! Chère Madame ! Vous avez changé entièrement ma femme qui était de mauvaise humeur en une femme qui est de bonne humeur ! Comment pourrais-je ne pas vous remercier ? »

On m’a raconté comment était sa femme. Quand il allait au restaurant avec sa femme, si elle trouvait son assiette tachée de la plus petite chose, elle la lançait sur- le- champ. Nous pouvons imaginer combien cela a dû être dur pour lui de vivre avec une telle femme. Sa femme a changé en ne venant qu’une seule fois à Naju. En fait, il y a tant de personnes qui ont changé après avoir visité Naju !

Si ces personnes font ainsi et que nous, qui vivons ensemble avec le Seigneur et la Sainte Mère chaque jour, nous ne changeons pas, comme Notre Seigneur se sera triste, n’est-ce pas ? Nous devons changer ! Et nous devons SENTIR ! Parce que nous ne sentons pas, nos vies courent la course de rats comme tous les jours!

Au moins, nous qui sommes supposés connaître le Seigneur, nous devrions rester vigilants et nous renouveler en « sentant » l’amour de la Sainte Mère.

Bref, retournons à l’histoire du salon de coiffure. Après avoir été sérieusement battue par les serveuses d’un bar, j’allais entrer dans la pièce quand soudain, le couple qui tient le bar entra en criant et commença à me gifler.

Même en étant battu, nous pouvons remercier pour cela, n’est-ce pas ? Parce que nous ne remercions pas, pendant tout le temps que dure la dispute, nous ne pensons qu’à : "Tu as fait cela à cette personne, mais pas à moi, voilà pourquoi je suis si désolée et désappointée. J’ai fait cela en plus mais tu ne me rends rien en compensation." Toutes ces choses-là ne viennent pas de l’amour de Dieu.

Contentez-vous de faire tout de votre mieux, approchez-vous autant que vous le pouvez du Ciel. Nous devrions le faire ! Parce que nous ne voyons pas la poutre qui est dans notre œil, nous avons toujours l’intention d’enlever la paille qui est entrée dans l’œil des autres. Mais à présent, ne faisons plus ainsi mais efforçons-nous d’enlever les poutres de notre œil.

Quand elle me frappa, j’ai alors prié: « Oh, Jésus ! Je Vous remercie de m’avoir fait sentir Votre amour de cette façon-là. » Puis, je me suis excusée devant elle en disant : "Pardon, c’était de ma faute !"

Qu’est-ce qui était de ma faute à leur égard, chers pèlerins ? C’est à cause de moi, parce que j’étais à cet endroit avec ces personnes que tout cela s’est passé. Si une autre personne avait tenu le salon de coiffure, cela n’aurait pas eu lieu.

Chers pèlerins, si vous rencontrez beaucoup de difficultés, c’est à cause de la jalousie du diable en raison de notre amour pour Dieu. Nous devrions être conscients de ces faits. Nous devrions le SENTIR !!!

Bien qu’on m’ait battu sauvagement d’une voix folle de la manière décrite juste auparavant devant la statue de la Sainte Mère qui versait des larmes, je leur ai demandé pardon. Chers pèlerins, comme je l’ai dit auparavant : « Il y aura un écho à notre endurance à l’égard de la personne qui est contre nous. Eh bien, oui ! J’ai reçu l’écho ! Il y aura toujours un écho-réponse rapide ou lent. Mais en ce qui me concerne, dans ce cas précis, l’écho est venu si vite !

Elle me demanda pardon en disant: « Maman de Uram ! (Uram est le prénom du plus jeune fils de Julia) Je suis désolée. J’ai mal agi ! » C’est comme cela qu’on se réconcilie les uns les autres ! D’ailleurs, le jour suivant, on organisait un pèlerinage pour visiter la Station Secondaire de Docho. Aux aurores, je devais partir avec mon corps lourd, blessé à tel point que je me sentais incapable de remuer un seul doigt.

Les bénévoles qui s’étaient joints au pèlerinage étaient bien connus dans le Mouvement Charismatique. Rufino et moi présidions le groupe de pèlerins. Tous les membres de notre groupe étaient tellement excités et heureux d’être à notre service.

Lorsque nous sommes arrivés au temple de Semanteo, le père Oh m’a demandé à nouveau de présider tout l’itinéraire et la liturgie de cette journée. J’ai répondu : « Père, je ne peux pas. » _ « Mais si, vous le pouvez ! Faites-le ! » Et je lui ai obéi. Depuis ce moment-là, tous les volontaires du groupe ont commencé à être contrariés et jaloux de moi.

Très chers, chacun de nous, nous devrions surmonter convenablement la jalousie et bien accepter l’occasion d’être humilié avec notre amour pour Dieu. Ne soyez pas troublés outre mesure ! Ne soyez pas distraits !

Cette nuit-là, quand je suis revenue des toilettes, on avait retiré toute la literie de mon lit ! « Ah ! Merci, Jésus ! » Chers pèlerins, si nous étions dans ce cas, que devrait-on faire ? Que devrions-nous dire : « Oh, cher moi, où est donc ma literie ? Que vais-je faire en cette journée glaciale d’hiver sans ma literie ? _ Nous, qui au moins connaissons le Seigneur et la Sainte Mère, nous ne devrions pas dire ces mots, c’est bien ça ?

Nous devrions dire au contraire: « Ah, mon Seigneur vient de m’accorder Sa faveur à nouveau. Si on m’avait laissé la literie, j’aurais tout juste dormi. Mais Lui, le Seigneur, Il a tout arrangé pour que je prie ensemble avec Lui à Gethsémani en enlevant cette literie confortable, ainsi je pourrais prier volontiers toute la nuit. »

Ainsi puisque ces bénévoles m’avaient infligé de grandes peines, j’ai prié en demandant de pouvoir pratiquer l’amour à leur égard. Quand je me suis levée tôt le matin, j’ai trouvé qu’on avait caché la literie derrière la leur. Comme je suis reconnaissante ! Ce sont mes bienfaiteurs qui m’ont laissé prier toute la nuit.

A propos, en dernier, nous avons grimpé la montagne. Après être montés sur la montagne Sorak, j’ai trouvé un mendiant assis sur le sol. A ce moment-précis, j’ai vu le mendiant comme un petit Jésus.

Je l’ai serré dans mes bras puis je l’ai consolé dans l’amour de Dieu. Quatre bénévoles venaient juste de descendre et je leur demandais de pratiquer la charité ensemble avec moi pour ce pauvre homme. Mais ils refusèrent en se bouchant le nez pour dire : « Julia, tu pratiques juste "l'amour" seul! et viens » « Houp-là ! Que ça sent mauvais ! »

« C’est seul que vous pratiquez “la charité” ! » Puis ils partirent. Rufino descendit aussitôt de la montagne avec un Frère nommé « Francisco » et ils se joignirent à moi. Ils partagèrent l’amour du Seigneur pour le mendiant et nous avons eu un dialogue fructueux. Ensuite, j’ai remarqué qu’ils m’évitaient tous. Je leur ai demandé « Pourquoi ? », mais personne ne m’a répondu.

Je pensais que ce n’était pas bien de laisser les choses aller ainsi. Il y a surement un malentendu. Je les appelais tous le soir. Mais ils se dispersèrent tous aussitôt. Le lendemain, je suis allée les chercher pour leur dire : « Dites-moi seulement ce que j’ai fait de mal. Je devrai être purifiée de mes fautes au Purgatoire parce que vous ne m’avez pas corrigée.» Mais ils n’ont pas voulu me le faire savoir.

Au bout d’un moment, la femme de Rufino confessa : « Ma soeur, je te fais confiance, mais ils ont dit que tu es allée dans la montagne avec Rufino en vous tenant la main. » Comme ils n’arrêtaient pas de dire, « Je le savais. J’avais déjà noté cette affaire. », la femme de Rufino aurait pu être éventuellement influencée à force d’écouter leurs insultes répétitives.

Alors elle s’évanouit dans le bus du pèlerinage et dut prendre des médicaments heongsimhwan (des comprimés pour le cœur). Le postulant Francesco prouva tous les faits à mon sujet.

Certains des pèlerins furent convaincus mais d’autres non. Ils ne cessèrent pas de me haïr.

Nous devrions vraiment nous abaisser. (Amen !)

A ce moment-là, je voulais simplement aider spirituellement les fidèles de la Station Secondaire en payant de mon porte-monnaie (elle a payé les frais de voyage-pèlerinage pour tous les bénévoles.) En tout cas, j’ai accepté toutes ces tribulations avec amour. Plus tard, j’ai dû aller à l’hôpital. Alors ils ont dit que Julia était malade parce qu’elle avait arrêté son activité dans le Mouvement du Renouveau Charismatique.

Chers pèlerins ! Nous ne devrions jamais juger les autres. (Amen) Si vous avez fait ainsi, je vous en prie, à partir de maintenant, ne le faites plus. (Amen) Beaucoup de gens dans le monde jugent fréquemment d’après leurs propres concepts. Vous savez que le préjudice peut tuer les gens. Renonçons entièrement à avoir recours au préjudice. (Amen)

Un jour, après cela, les mêmes membres me demandèrent de les coiffer (en transformant chaque action de mon brushing en prières). Alors que j’étais en train de le faire pour elles, tout à coup, je suis tombée sur le sol en me roulant à cause de douleurs intenses. Toutes les personnes qui étaient là furent étonnées et appelèrent mon mari, Julio en disant : « Julio, Julio ! Julia est en train de mourir ! Emmène-la vite à l’hôpital ! Je dis à Julio de ne pas venir.

Ainsi j’étais étendue au sol, frigorifiée par les douleurs et tout le monde m’entourait. L’une de ces personnes qui était plus jeune que moi d’une année me dit : « Ma sœur, elles disent que tu es tellement orgueilleuse et elles parlent entre elles pour savoir pourquoi Julia a demandé des douleurs d’expiation.

Seul Jésus est digne de ces douleurs. Elles le pensent toutes ! Une autre bénévole dit aussi : « C’est correct que Jésus ait souffert, mais pourquoi Julia ? » Je l’ai alors réprimandé : « Elisabeth ! C’est ta propre pensée ! Pourquoi Jésus devrait-t-Il souffrir pour nous jusqu’à maintenant ?

J’ai souvent expliqué que Jésus est mort il y a 2000 ans mais que jusqu’à maintenant Il souffre encore. N’est-ce pas notre part de participer à Ses souffrances ? Comment pouvez-vous me juger ainsi ? Alors elles fondirent en larmes et pleurèrent à haute voix.

Mais, en dernier, un autre volontaire qui était très connu dans l’Archidiocèse de Gwangju est arrivé et a commencé à me taper sur la tête en disant : « Eh toi, qui a étudié plus que moi et qui es plus intelligente que moi. Donc si tu avais étudié diligemment pour « Le Renouveau charismatique », tu serais devenue plus grande que moi à présent.

C’est parce que tu as arrêté de travailler pour ce Renouveau charismatique que tu es malade chaque jour, tu comprends ça ? Je me mis seulement à prier avec les paroles du Seigneur : « Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font. » Que cela puisse se réaliser pour cette femme.

Je ne pouvais plus bouger la tête pendant un mois tellement elle m’avait grièvement battu.

Comme vous le savez, il n’y avait aucune raison qu’elle me batte. Cependant elle m’a battu en disant que c’était parce que j’avais quitté le Mouvement Charismatique que j’étais tombée malade. La seule raison pour laquelle elle avait agi ainsi, c’était son arrogance. Nous devrions travailler avec amour lorsque nous travaillons pour Jésus et pour la Sainte Mère.

Un jour, je suis allée faire une retraite sur l’île de Ja-eun. Au bout une retraite de trois jours, je suis allée voir une personne démonique en compagnie de deux religieuses. On nous a dit qu’un pasteur et trois hommes costaux étaient venus dans cette maison de retraite où ils avaient reçu des prières d’exorcisme, mais qu’ils avaient dû finalement en sortir en rampant parce qu’ils avaient été battus à mort. C’est à cet endroit-là que Ruffino m’amena.

Chers pèlerins, l’amour, c’est ce qu’il y a de mieux. Une des religieuses était en train de prier en se frappant la bouche impitoyablement, à tel point qu’elle saignait. « Ma sœur, je vous en prie, ne faites pas comme ça ! C’est aveamour que nous devons expulser les démons. Vous pouvez crier après eux si c’est nécessaire mais, je vous en prie, ne les battez pas.»

Je l’ai interrompue et j’ai prié pour cet homme. A ma grande surprise, les démons se sont enfuis. Chers pèlerins, on ne peut remporter la victoire que par l’amour. Cet homme s’est converti au catholicisme.

Rufino : A ce moment-là, les démons se sont enfuis parce qu’il s’est converti au catholicisme. Oui, nous avons gagné la victoire avec amour.

De même que les démons sont chassés quand on n’agit que par amour, ainsi nous ne pouvons vaincre le démon que par l’amour. A présent, expulsons tous les démons qui sont en nous (en agissant) avec amour. (Amen !)

Avec Rufino et les fidèles de la Deuxième Station, nous nous sommes installés dans une auberge à Mok-po. A l’aube, quelqu’un piétina des pieds à l’étage au-dessous. Je jetais un coup d’œil pour voir qui s’était, il s’agissait de Rufino. Puis, je dis : « Chut ! Nous ne sommes pas chez nous. Nous devons pratiquer la charité dans ces maisons puisque beaucoup de gens sont en train de dormir. Et il répondit : « Amen ! Alléluia ! Nous te louons, Seigneur ! »

Nous devons être conciliants comme lui. Beaucoup de personnes se justifient, rationalisent et s’excusent elles-mêmes. Elles jugent aussi les autres. C’est pourquoi notre bouche se salit toujours (avec les péchés). Renouvelons-nous dès aujourd’hui. Amen !

Méditons le message que Jésus et la Sainte Mère nous ont donné.

Message de l’Amour de Jésus du 4 novembre 2006

« A mes très chers enfants dans le monde !
Vous ne devriez jamais oublier que Moi, qui vous aime tant, j’essaye de vous sauver en vous donnant la vie éternelle obtenue par un amour incommensurable et illimité puis le salut de la Croix, tout en vous infusant le sang que j’ai versé lorsque j’ai été crucifié afin de laver en profondeur vos taches

Vous qui vous précipitez vers Moi par l’intermédiaire de Ma Mère, qui est un Secours dans Mon Oeuvre du Salut, qui est Médiatrice des Grâces et Co-rédemptrice, vous qui ne regardez pas en arrière indépendamment de votre situation, vous serez reconnus comme de bons grains au temps du Dernier Jugement et vous serez bénis avec le bonheur éternel, à Ma Table, dans Mon Royaume, ensemble avec Ma Mère escortée par les anges. »

Message de l’Amour de la Sainte Mère du 9 novembre 2001 

« Mes chers enfants qui ont été appelés !
Gardez à l’esprit que ce monde est déjà tombé dans une crise, le transformant en cendres à cause des péchés commis à l’extrême, mais mon Fils Jésus vous a donné une chance de plus, vous les petites âmes, grâce à vos prières ferventes, vos sacrifices et vos réparations. Vous devriez au moins vous dissoudre entièrement dans le Sacré Cœur de Jésus qui est devenu la Victime sacrificielle pour la réconciliation et dans mon Cœur Immaculé et aussi en transformant vos vies en prières, pansant les plaies saignantes du Seigneur, les recousant et les purifiant.

C’est pourquoi, n’hésitez pas ou ne remettez pas à plus tard mais prenez ma main fermement, moi qui suis la corde qui relie ensemble le ciel et la terre. Mettez en pratique les Messages de l’Amour et ainsi vous participerez à l’oeuvre du salut de ce monde. En agissant ainsi, vous rejoindrez le banquet éternel au milieu des acclamations des anges et des Saints dans le Ciel, là où il n’y a plus ni mort, ni faim, ni tristesse, ni souffrance, ni soupir mais où tout est seulement rempli d’amour et vous participerez à la gloire »

(Amen!) Amen. Que les Messages de l’Amour de Jésus et de la Sainte Mère se réalisent pour chacun de vous tous !

A présent, mettons la main sur notre Coeur, avouons-nous nous-mêmes à Notre Seigneur et la Sainte Mère. Méditons sur ce que nous avons fait de mal jusque-là, si nous avons humblement accepté les paroles de Jésus qui nous ont été transmises et si nous avons bien construit notre maison sur le roc en mettant en pratique (ce qu’on a entendu) ou bien, si au contraire, nous l’avons construite sur du sable. Soyons prudents et construisons nos maisons sur le roc maintenant à nouveau, elles ne s’effondreront jamais mais supporteront le vent, les vagues et même les tsunamis. (Amen !)

Nous pouvons capturer le voleur si nous savons l’heure à laquelle il viendra. Mais ce serait inutile pour nous de regretter d’avoir été volé sans savoir l’heure. Cela signifie qu’il est déjà trop tard de fermer la porte de l’écurie une fois que le cheval a été volé. Quand Dieu va faire venir le châtiment sur ce monde, nous devrons être sauvés. Nous ne savons ni où ni quand cela arrivera.

Chers pèlerins, nous devons nous réveiller ! Nous devons nous armer des Cinq Spiritualités ! (Amen !) Vous qui vous êtes rassemblés ici pour vous armer des Cinq Spiritualités, vous êtes vraiment des enfants bénis. A présent, confessons à Jésus ce que nous avons fait de mal. Nous devons nous repentir de nos péchés si nous voulons être guéris.

Chers pèlerins, nous ne savons pas quand ni comment être. Abaissons-nous nous-mêmes de plus en plus, soyons vigilants et prions. Les prières de la vie, nous ne pouvons les faire que tant que nous avons un esprit. Je pense que nous pouvons nous aussi vivre une vie d’offrandes vers le haut si nous faisons des efforts pour essuyer les larmes de sang, au-delà des efforts de saigner.

Si nous offrons en sacrifice vers le haut chaque chose en transformant notre vie quotidienne en prières, sans rien négliger, pas même une particule de poussière, nous pourrons jouir du bonheur éternel à côté de Notre Seigneur et de la Sainte Mère au Ciel, là où nous pourrons vivre une vie de résurrection remplie seulement d’amour, de joie et de paix, là où il n’y a ni faim, ni haine, ni combats et où nous serons escortés par les anges au Dernier Jour.

Mettez la main sur votre coeur et avouons-nous nous-mêmes entièrement au Seigneur. Méditons sur la façon dont nous avons vécu jusqu’ici et si je me justifie, me donne des excuses ou justifie quelque chose ou non. Quand nous trouvons les erreurs des autres, ne jugeons pas, ne critiquons pas, ne considérons pas leurs points faibles.

Et nous devons vivre notre vie en rendant grâces, une action de grâces qui ne doit jamais tarir de nos lèvres. Notre repentir nous apporte la grâce guérissante de Dieu.

Le repentir, qu’est-ce que ça veut dire ? Le repentir, ce n’est pas seulement regretter en appelant Dieu en pleurant, mais cela signifie vivre en accord avec les paroles de Dieu. Bien que Dieu nous ait montré de nombreux miracles de son amour incommensurable qui est le plus sublime, et cela sans cesse, nous n’arrivons pas à le rejoindre pour y correspondre. Combien de personnes pourraient-elles parvenir directement au Ciel si le châtiment descendait dès maintenant ? Mais à partir d’aujourd’hui, soyons éveillés et prions afin de parvenir directement au Ciel, quoiqu’il arrive à l’autre bout du monde. (Amen !)

Il est temps de séparer les bons grains des mauvaises herbes. Accordez à vos enfants qui ont été choisis par vous comme du bon grain en s’armant des Cinq Spiritualités de monter à bord de "Marie, l’Arche du Salut" pour atteindre le Ciel sans regarder en arrière, sans jeter de coups d’œil de côté ou sans sortir de l’Arche.

Accordez-nous la grâce du repentir parce que nous ne pouvons pas nous repentir de nos péchés par nous-mêmes. Puis aidez-nous à nous réconcilier, à nous pardonner et à nous aimer les uns les autres. (Amen !) Nous Vous en prions, guérissez-nous tout d’abord de notre tumeur cancéreuse.

Oh, Seigneur, déracinez toutes nos mauvaises habitudes.  Arrachez aussi notre arrogance à la racine. (Amen !) Guérissez aussi l’âme et le corps de chacun de nous pour que nous puissions renaître avec un amour délicat, Gloire au Seigneur et consolation à la Sainte Mère et puisse notre gratitude ne jamais s’éteindre! (Amen !)

 

Mes frères et soeurs bien-aimés,
pourquoi oubliez-vous de vous repentir ?
Se repentir en versant des larmes, cela appelle un miracle.
Baul et Silla ont ouvert la porte de la prison à Philippe,
En chantant un hymne, en chantant un hymne.
Qui veut vivre dans une famille sans amour ?
Nous avons vécu dans une famille desséchée.
En confessant au Seigneur toutes mes tristesses.
Je vais vivre avec amour, avec amour

Mes chers frères et soeurs, nous sommes tous appelés
Et nous sommes réunis sur la Montagne de "Marie, l’Arche du Salut"
Laissez-nous mettre en pratique le Message comme des enfants
qui ont été appelés pour être sauvés à travers le repentir,
pour sauver nos âmes desséchées. Amen.

Il y a un moment, lorsque je suis revenue du Mont Seol-ak, on m’a appelé de ce bar.

Mes esthéticiennes ont dit: « Qu'est-ce que nous allons faire? Le bar coups de bar frappe les filles du bar avec des pinces à feu quand elles se sont enfuies. Que faire s'ils vous hachent? » Comme je mets toute ma confiance en le Seigneur, je me mis à penser : « D'accord. S'ils me hachent, je serais haché. J’irai là-bas pour offrir tout en sacrifice pour Notre Seigneur. Et si je suis hachée, je l’offrirai pour le repentir des pécheurs. »

Pourquoi sur terre des femmes profondément méchantes deviennent-elles des anges et s’alignent tout droit par deux en disant : « Soyez la bienvenue, soyez la bienvenue. » Elles me guidèrent par deux par deux et me dirent d’entrer à l’intérieur. Je rentrai dans l’établissement en pensant : « Que se passe-t-il maintenant ? » Toutefois, la propriétaire dit : « Oui, mère de U-Ram, soyez la bienvenue. », et elle me donna les 360,000 wons sans remise de pièces de monnaie.

« En tant que mère de U-Ran qui est si gentille et a vécu très bien dans ce village, personne ne manquerait de payer votre note s’il y a quelqu’un qui la possède.»

(La propriétaire du bar me dit: « Dorénavant, je veux aller à l’Eglise Catholique pour vivre une vie comme celle de la maman de U-Ram. Bien que je ne puisse pas y aller maintenant parce que je dirige le bar, j’irai certainement plus tard. »)

Je vous avais dit que l’écho de l’amour revient sûrement et qu’il travaille, n’est-ce pas ? Nous ne savons pas si l’écho reviendra demain, le jour suivant ou bien une année après, dix ans après. Mais s'il ne revient pas rapidement, cela signifie que nous pouvons faire encore plus pénitence.

Offrons beaucoup de sacrifices et de pénitences au Seigneur tant que nous vovons sur terre.

Si nous nous armons parfaitement des Cinq Spiritualités en réformant notre vie avec l'esprit de renonciation et de pauvreté tout en renant fermement les mains de la Sainte Mère, qui est la chaîne qui relie le Ciel et la terre et si nous vivons une vie de prière, de sacrifice, et de pénitence en l'offrant au Seigneur, nous irons directement au Ciel.

Allons au Ciel ! De quoi avons-nous besoin le plus poue cela ? de l'amour ! Bien sûr, nous avons besoin des Cinq Spiritualités mais tout ne sera possible que par l'amour !  

L'amour, l'amour, l'amour le matin, l'amour le midi,
l'amour, l'amour, l'amour le soir
Alléluia, Alléluia, j'ai gagné une victoire !
Alléluia, Alléluia, chacun de nous tous a gagné une victoire !
Amen ! Alléluia !

Je vous aime tous. Je vous aime de tout mon être. Merci.

Cliquez : Extraits du Témoignage de Maman Julia, le 5 nov 2016 (PDF)