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et l'
Expérience de sa foi, Julia


- Les témoignages de Julia au cours de la veillée de prières du premier samedi
 

- La douleur de Julia
comme âme de
victime

 

 

Extraits du témoignage de Maman Julia et de sa prière de guérison
(le 6 mai 2017)

 

https://youtu.be/brrNi4BIIxs

bullet03_glitter.gif  Loué soit le Seigneur! Louée soit la Sainte Mère! 

Quelle joie de vous rencontrer. Je ne suis qu’une pécheresse honteuse qui ne mérite pas d’être ici debout devant vous, mais c’est la volonté de Dieu que je sois ici, debout devant vous, juste en ce moment. Chers pèlerins, malgré mon indignité et mon insignifiance, partageons ensemble notre amour.  

Aujourd’hui, Pierre Park nous a parlé de la métaphore du Talent. Devrais-je parler plus de ce sujet ?  (Oui !) Ne devons-nous pas nous efforcer de combler notre inaptitude concernant les connaissances spirituelles puis de continuer à les écouter et à les méditer

Selon Saint Matthieu au chapitre 25, des versets 14 à 30, le maître allait partir en voyage et il remit cinq talents à l’un de ses serviteurs, deux talents à un autre serviteur puis un à un autre pour garder ses biens. Le serviteur qui avait reçu cinq talents sortit et en gagna cinq autres. De même, le serviteur qui avait reçu deux talents sortit et en gagna deux autres. Enfin, celui qui avait reçu un talent s’en alla creuser un trou dans la terre pour y cacher l’argent de son maître.

Finalement le maître revint et régla ses comptes avec eux. Celui qui avait reçu cinq talents lui dit : « Regarde, en ton absence j’ai gagné cinq autres talents que voici. » Son maître lui répondit : « Serviteur bon et fidèle, comme tu as été fidèle pour peu de choses, je te donnerai de plus grandes responsabilités. Viens, entre dans la joie de ton maître. »

Celui qui avait reçu deux talents dis la même chose : « Maître, regarde, tu m’as remis deux talents. J’en ai gagné deux de plus. » Quant à celui qui avait reçu un talent, il le lui rendit en disant : « Je savais que tu es un homme dur : tu moissonnes où tu n’as pas semé, tu ramasses où tu n’as pas répandu ; par peur, je suis allé cacher ton talent dans la terre : le voici, tu as ton bien. » Alors, qu’a dit le maître ?  

“Mauvais serviteur fainéant ! Retirez-lui donc son talent et donnez-le à celui qui a les dix talents. Quant à ce serviteur bon à rien, jetez-le dans les ténèbres du dehors. Là seront les pleurs et les grincements de dents. C’est ainsi n’est-ce pas?  Cependant nous devons méditer là-dessus chaque jour. Quelques soient les talents que le Seigneur et la sainte Mère nous ont donnés, même s’ils nous ont donné cinq talents, cela ne sert à rien si on l’enterre dans le sol. Même s’ils ne nous ont donné qu’un seul talent, on peut le multiplier jusqu’à obtenir dix millions.

Comment faire cela? En répandant l’amour de Jésus et de la Sainte Mère aux autres. Si nous faisons connaître l’amour de Jésus et de la Sainte Mère à beaucoup de personnes qui sont en train de se diriger vers l’enfer, cela revient à multiplier à mille talents le talent que nous avions au départ. Alors, que dira le maître ?  « C’est bien, bon et fidèle serviteur, tu as été fidèle en peu de choses, alors tu auras la joie, l’amour et la paix avec moi au ciel au dernier jour. » (Amen !)

Chers pèlerins, cela s’applique aussi à vous. Si vous avez été persécutés et que vous veniez incognito en secret à Naju sans connaître personne, eh bien même si vous avez reçu d’abondantes grâces, que vous avez été guéri du cancer, mais que vous le gardiez pour vous-même sans donner votre témoignage pensant que «  personne ne me connaît, pas même mon nom », pensez-vous que le Seigneur s’en réjouira ? (Non !) Non, en effet, Il ne s’en réjouira pas. Donc, témoignez avec courage du Seigneur!

Vous aussi, après avoir reçu un talent, vous pouvez redonner dix millions de talents au Seigneur. Offrons-nous totalement au Seigneur, au Maître, afin de porter des fruits avec diligence.

Avant la déclaration provenant du diocèse de Gwangju puis le carnet de note PD, beaucoup de personnes sont venues à Naju et y ont reçu de nombreuses grâces. Il y a tant de personnes qui ont reçu un nouveau bail de vie en venant à Naju, les libérant d’un état de mort prochaine presque fatal . Et il y a aussi quelques personnes qui sont vraiment ressuscitées des morts ici-même à Naju. Mais elles ont évité d’en faire la publicité parce qu’elles ont eu peur, étaient effrayées (de la persécution), puis finalement elles ont renié Naju, puis se sont retournées contre elle, et elles ont diffamé Naju jusqu’à présent.

Ces personnes dans les ténèbres, obtiendront-elles le ciel au dernier jour ? (Non.) Alors, vous ne devez pas prendre ce chemin, personne ici n’aura à se battre la poitrine au dernier jour ni à gémir. C’est la raison pour laquelle vous êtes ici.

Nous devons mettre en pratique l’amour. Pour pratiquer l’amour, que devons-nous faire ? Pour faire échouer les démons de la division, nous devons nous armer des Cinq Spiritualités. Mais il y a trop de personnes qui ne sont pas armées des Cinq Spiritualités. (Je vais faire un nouveau départ) Oui, je vais faire un nouveau départ.

Essayez de dire à nouveau : « Je vais faire un nouveau départ. » jusqu’à ce que l’on vous entende devant le trône au Ciel. (Je vais faire un nouveau départ !) Amen. (Amen!) : « Je deviendrai une fleur de consolation. » (Je deviendrai une fleur de consolation!) Amen. (Amen!) Oui, cela va résonner jusqu’au trône céleste et Dieu l’entend aujourd’hui. C’est pourquoi nous devons tenir les promesses que nous avons faites telles qu’elles sont.

Nous devons tenir les promesses que nous avons faites à Dieu. Qu’il s’agisse d’une grande ou d’une petite chose, nous mettons pleinement notre confiance en Dieu et dans le Seigneur à travers la Vierge Marie. Ainsi nous irons au Ciel au dernier jour. La condition de ce monde est dans un état de délabrement extrême, à tel point qu’il va bien au-delà des ténèbres qu’on n’arrive pas à voir les yeux ouverts. Il est tombé dans un état tellement catastrophique que c’est au-delà de toute description verbale.

Le dernier Vendredi Saint, j’ai souffert des douleurs de la couronne d’épines, je suis tombée à terre puis je suis entrée en extase. Alors j’ai vu le monde rempli de ténèbres. C’était vraiment un noir intense comme dans un four. Cependant, un rayon de lumière irradiait largement la Montagne de la Sainte Mère puis jaillissait sur vous tous. Chers pèlerins, puissiez-vous aujourd’hui aussi recevoir cette lumière.

Toutefois, Jésus m’a dit « Je ne perdrai pas même une seule goutte de votre sueur. » Dans le passé, j’ai prié à maintes reprises à cette intention : « Je Vous en prie, que même pas une seule goutte de ma sueur qui s’écoule ne soit en vain et laissez-la se répandre sur les pèlerins. Je Vous en prie, changez ma sueur en le Sacré Sang provenant de Vos Cinq Stigmates, en le Précieux Sang provenant des Sept Blessures de Jésus, en les larmes de la Sainte Mère, des larmes de sang, en l’huile parfumée et en le Lait maternel avec lequel l’Enfant-Jésus a été nourri, puis ayez pitié de tous les pèlerins.

Peut-être bien que j’ai sué ainsi les vingt dernières années. Un jour, je vins ici ; je me tenais debout mais je me mis à suer. Alors j’ai dit à Jésus : «Jésus, je sue tellement que je suis embarrassée d’être vue par les gens. Ne pourriez-Vous pas faire en sorte que je sue beaucoup lorsque je suis seule mais pas en public devant les gens ? Mais qu’il en soit selon Votre volonté. Ainsi Jésus, utilise chaque goutte de cette sueur afin que je ne sue pas en vain. Et à ce moment-là, un Vendredi Saint, Jésus m’a fait une promesse en me disant ; « Oui, je ne perdrai pas même une goutte de ta sueur. »

Dernièrement, Pierre Kim m’a dit: « Maman, essayons de prendre votre sueur. Je parie qu’elle recèle plein de pouvoirs. » Alors, je lui répondis : « Mais Pierre, comment pouvons-nous prendre cette sueur à moins de l’essuyer. » Il me répondit alors : « C’est peut-être possible. » C’est ainsi que j’ai vraiment rassemblé ma sueur ce Vendredi Saint puis je l’ai utilisée à mon usage personnel, pour Pierre et plusieurs membres de la famille également. Alors, la promesse que Jésus a faite s’est accomplie !

Une femme des Philippines est venue à Naju accompagnée de beaucoup de pèlerins. Elle souffrait du diabète d’un degré de 240, mais après sa venue, le taux de son diabète avait réduit et elle avait pleinement retrouvé la santé. Puis, une autre fois, elle a amené sa sœur aînée pendant la Semaine Sainte. De grandes grâces ont été données aux pèlerins durant la Semaine Sainte.

Cependant, j’ai entendu dire qu’elle était venue ici pour se préparer à mourir à ce moment-là à cause de son cancer bien avancé ce dont j’ai pris connaissance plus tard. Bien que je ne sache pas de quelle maladie elle souffrait avant cela (avant d’en prendre connaissance), je me suis trouvée en train de verser sur sa tête de l’eau sainte et de l’huile parfumée mélangée à ma sueur ; puis je mis ma main sous ses habits pour l’appliquer également au niveau de sa poitrine.

Après son retour, nous avons reçu de ses nouvelles par elle-même. Quand elle est allée faire un examen de santé médical deux mois avant de venir à Naju, les résultats montraient son cancer du sein qui s’était répandu jusqu’aux poumons et au cerveau. C’est pourquoi elle a eu une intervention chirurgicale au cerveau, cependant la tumeur maline du cancer continuait à se répandre dans son cerveau. On ne pouvait rien faire de plus. Mais elle s’est préparée à mourir en venant à Naju. C’est dans cet état d’esprit qu’elle a vu Naju avant de mourir.

Puis, après sa visite à Naju, elle est retournée chez elle. Elle alla passer une visite médicale qui montra que le cancer avait entièrement disparu et que son sang était devenu tout à fait normal. C’est pourquoi, dans son allégresse, elle nous a envoyé son certificat médical. En outre, j’avais mis ce morceau en coton imprégnée d’huile parfumée, du liquide provenant de mon corps et du signe doré qui m’ont été donnés dans un sac en plastique et je l’ai donné aux prêtres (qui participaient à la  liturgie du Saint Triduum Pascal.)

J’en ai donné un semblable à Anna venant d’Indonésie. Elle est venue ici avec sa canne en raison d’intenses souffrances aux jambes. Et j’ai entendu dire que cela faisait sept mois qu’elle ne pouvait plus lever les bras parce que son dos était courbé. Cependant je ne l’ai pas mis sur la partie douloureuse. Ceux qui sont venus au Triduum Pascal l’ont vu. Dès qu’elle a reçu ce morceau en coton, elle s’est mise à faire des bonds. De plus, elle était entièrement guérie aux bras qu’elle ne pouvait plus lever auparavant et elle commença à se mouvoir librement sans plus aucune douleur.

Pierre Kim avait une maladie comme le zona. Il a appliqué ce morceau en coton à l’aine. Après une seule application, il a été guéri. Ce n’est pas si facile de guérir du zona. Cela faisait vingt ans qu’il avait des douleurs aux doigts de pied, chaque fois qu’il heurtait son pied, même légèrement, il ressentait des douleurs intolérables.

Il a donc appliqué à deux reprises le morceau en coton sur la zone douloureuse et il a été entièrement guéri cette fois-là. Un bébé nommé David qui avait une forte fièvre de 39.8 degrés venait d’être admis dans un hôpital. Le docteur dit qu’il avait attrapé la grippe et qu’il fallait l’envoyer rapidement à Gwangju pour l’hospitaliser. Alors j’ai envoyé ce morceau en coton pour qu’on l’applique sur lui et après cela, il a été entièrement guéri.

Notre bénévole, veuillez vous lever.

Rocien : Ce moreau en coton imbibée d’eau bénie, de l’huile parfumée de la Sainte Mère, du liquide épais provenant du corps de Maman Julia est tellement précieuse. Mais, un jour, en allant au lit, j’ai eu un battement de cœur irrégulier, ce qu’on appelle des palpitations. Les palpitations étaient telles que je pensais : « Oh mon Dieu, si mon cœur continue de battre de cette manière-là, ne vais-je pas mourir ? » Cependant, à ce moment-là, la serviette qui était imprégnée de la sueur ou du liquide épais provenant du corps de Julia me vint à l’esprit et je l’appliquai aussitôt sur mon cœur dont le battement irrégulier se calma et redevint normal. Depuis, je n’ai plus de battements de cœur irréguliers. Cela signifie que j’ai été complètement guérie.

Maman Julia : Elle pensait qu’elle allait mourir si elle n’arrivait pas à saisir la serviette. Mais comme avait l’impression d’être déjà presque morte, elle s’acharna à atteindre l’endroit où était la serviette et la mit sur son cœur. Il s’agissait vraiment d’une maladie cardiaque. Cependant elle a été entièrement guérie. Par conséquent, je vais nourrir chacun de vous d’une goutte aujourd’hui. (Amen !!!)

C'est pourquoi je vous dis que le Seigneur accorde aux nos demandes pressantes.

Mais, chacun de nous, comment devrions-nous prier la prière du chapelet ? Ce n’est pas le nombre de dizaines que l’on prie qui est important. Cent, deux-cents, trois-cents décades, cela n’a pas d’importance. En priant le chapelet, la plupart des gens commencent par la prière du Notre Père et juste après, elles commencent à réciter les mystères, n’est-ce pas ? Nous ne devrions pas prier ainsi.

A la cinquième dizaine du mystère joyeux, prenons le temps de méditer la scène où Marie a retrouvé l’enfant Jésus qui était perdu

Je prie comme cela en méditant: « Jésus, laisse-nous trouver la statue de la Sainte Mère de Naju qui était perdue afin que nous puissions devenir un instrument de Gloire pour le Seigneur, un réconfort pour la Sainte Mère et que nous ne cessions pas de rendre grâces. » Cependant ce n’est pas nécessaire de le réciter verbalement.

Si notre santé se dégrade, nous pouvons prier : « Jésus, ma santé s’est totalement dégradée à présent. Laissez-moi me rétablir de ma santé malade.” Et puis : « Que la santé de ma mère, de mon fils, de mon mari, de mon épouse se rétablisse ! Après cette méditation, nous pouvons commencer à réciter le chapelet. Je vous en prie, ne commencez pas la prière juste après avoir annoncé : « Le troisième mystère glorieux, la descente de l’Esprit Saint. »,  mais méditez d’abord comme cela : « Jésus, moi qui suis indigne, remplis-moi de la sagesse, du discernement et de la connaissance du Saint-Esprit pour que je puisse offrir le monde entier à Jésus et non à moi-même. »

Ou bien nous pouvons prier ainsi: “Jésus, que le Saint-Esprit descende sur nous afin de pouvoir être opéré de la tête aux pieds sans exception par le Saint-Esprit de chacune de nos cellules. En faisant ainsi, donnez-nous la gloire du Seigneur, réconfortez la Sainte Mère de Naju et faites que nous ne cessions jamais de Vous rendre grâces. »

Et quand on arrive à la cinquième dizaine du mystère glorieux, on peut prier ainsi : « Jésus, Vous avez déposé une couronne céleste sur la tête de la Sainte Mère. Faites que la Sainte Mère de Naju soit reconnue par l’église de sorte que, en mettant une couronne céleste sur la tête de la Sainte Mère de Naju, tous les enfants de ce monde puissent être sauvés au plus vite. En faisant cela, que nous rendions gloire au Seigneur, réconfortions la Sainte Mère, et que nous ne cessions de Vous rendre grâces. »

Il y a tant de choses que nous pouvons méditer en faisant notre dévotion du chapelet. « A la troisième dizaine, des mystères douloureux, méditons sur Jésus portant la couronne d’épines. Alors on peut prier ainsi : « Jésus, je Vous en prie, transfusez Votre précieux Sang en nous, ce Sang que Vous avez versé, lorsqu’on a enfoncé la couronne d’épines sur Votre tête, pour que cela nous sauve également. Purifiez mon corps et mon âme qui est malade et usée en transfusant Votre précieux Sang, en lavant mon corps et mon âme, débloquez les parties bouchées pour que je puisse travailler pour la gloire du Seigneur et le triomphe du Cœur Immaculé de Marie avec un corps et une âme saines. »

Que de nombreuses prières ne pouvons-nous pas offrir vers le ciel ? La cinquième dizaine des mystères douloureux, c’est «Jésus a été crucifié sur la Croix, est mort, et a été enseveli pour nous », n’est-ce pas ? Alors on peut méditer ainsi :

« Jésus, Vous avez été crucifié, cloué sur la Croix, Vous êtes mort et Vous avez été enseveli, mais Vous êtes ressuscité des morts après trois jours. Alors Jésus, je Vous prie de transfuser en moi ne serait-ce qu’une seule goutte de Votre eau et une seule goutte de Votre Sang parce que, de la Croix, sans condition, Vous avez versé (toute Votre eau et tout Votre Sang) pour me sauver et m’opérer avec le Saint Esprit de chacune de mes cellules de la tête aux pieds. Alors, sans exception, travaillons pour la Gloire du Seigneur et le triomphe du Cœur Immaculé de la Sainte Mère avec une âme et un corps sains. En agissant ainsi, glorifions le Seigneur, réconfortons la Sainte Mère et ne cessons de Vous rendre grâces.

Ce n’est pas pour moi, c’est pour le Seigneur et la Sainte Mère que je pratique l’amour dans ma famille et ma communauté. Alors, nous ne devons pas être distraits continuellement par des petites choses et détester les autres avec des choses banales sans importance, n’est-ce pas ? Si nous continuons à nous armer d’amour, les démons de la division qui remplissent le ciel et la terre s’enfuiront.

Les démons de la division nous font tomber dans un trou sans fond en nous divisant de toutes les ressources qu’ils peuvent rassembler.

Mais le démon quitte les personnes tièdes. Les démons de la division opposent ceux qui sont fidèles avec zélé, et ceux qui ont reçu beaucoup d'amour du Seigneur et de la Sainte Mère, pour qu’ils soient distrait continuellement et désunissent par cette manière.

Nous devons savoir bien que tout ce qui fait me sentir tout drôle est à cause des diables de la division. Donc nous devons repousser des diables de la division. A quoi devons-nous faire pour expulser les démons de division? N’importe quel diable va s'enfuit devant l'amour. Devant l’amour, tous les démons seront subjugués. Comprenez vous? Si vous le savez, mettons-nous en pratique l'amour.

Je vais vous donner un exemple. C’était le 13 mars 1990, la période du Carême, à ce moment-là. J’étais en train de pleurer, de me débattre à travers les douleurs en méditant la Passion de Notre Seigneur, Jésus-Christ, souffrant sur la Croix. C’est à ce moment-là que Marthe qui vit à Sougang  se précipita en courant vers moi et disant : « Ma sœur, ma sœur ! Il y a une personne qui est recouverte de sang devant la porte de l’appartement Sougang. Je t’ai apporté cette nouvelle car ça va t’intéresser de l’entendre. »

J’étais toujours heureuse lorsqu’on m’amenait les gens pauvres. C’était comme lorsque Francois, le vieil homme, est venu à moi. Le prêtre de ma paroisse était en train de célébrer la Messe qui marque les cent jours de la période de deuil de Bong Il-dong. Après avoir partagé la nourriture avec les gens, je sortis pour lui dire au revoir et Ruffino m’amena un vieil homme infime en disant : « Julia, Julia, je te l’ai amené parce que tu vas l’aimer. Que dois-je faire ? » Alors, je lui répondis : « Ah ! Vous avez fait un travail formidable ! » C’était Jésus que j’appelais Francois. Tout le monde est Jésus et la Sainte Mère pour moi.  

« S’il-vous-plaît, aidez-moi à me lever. » Je pouvais à peine me lever avec l’aide des autres mais il n’y avait pas le temps d’hésiter parce que j’avais entendu que la victime était tombée et couverte de sang. »

Ma peine restait cachée et invisible aux yeux des autres en pratiquant l’amour. J’ai couru désespérément là-bas comme si je n’étais pas malade du tout. En arrivant là-bas, la porte d’entrée de l’appartement était vraiment couverte de sang. Cela m’a surpris et j’ai alors prié. Ensuite, il a ouvert les yeux et dit ; « Madame, vous êtes comme un ange ! » puis il retomba dans un état de comas. Il n’y avait pas de services d’urgence en ce temps-là.

IL était entièrement taché d’alcool et recouvert de ses propres excréments mélangés avec le sang qu’il avait perdu. L’odeur dégagée par les excréments était une véritable puanteur, Je ne pouvais donc pas arrêter ou appeler un taxi pour l’amener à l’hôpital. C’est pourquoi j’ai appelé Julio qui était au travail à cette heure-là puisque je ne pouvais pas le faire de moi-même. Jusqu’à présent, c’est avec peine que j’ai appelé une personne qui était en train de travailler.

C’était impossible que Julio le fasse tout seul. Nous avions besoin d’une voiture. C’est pourquoi j’ai appelé Rufino et Andrew qui possédait une voiture. Après l’avoir allongé dans la voiture sur du vinyle, à quatre personnes dans la voiture, nous l’avons amené à l’hôpital voisin. Imaginez la grande quantité de sang qu’il a perdu puisque la porte d’entrée a été retrouvée pleine de sang. Pensez-vous qu’il aurait pu survivre même en entrant dans un état de comas ? Il ne pouvait pas survivre après une telle perte de sang. Mais, d’une foi entière, je croyais que le Seigneur le ferait miraculeusement.

Le médecin traitant recousu ses plaies avec trente-sept points de suture. Sa tête avait éclaté, était brisée, il était dans un état de mort total. Le docteur dit : « Nous venons de faire les premiers soins d’urgence. Apportez-le rapidement dans un plus grand hôpital. Nous l’avons amené à l’hôpital de Naju. Alors, les gens qui étaient là se pinçaient le nez et évitaient de s’approcher de lui. Quelqu’un qui était à cet hôpital à ce moment-là le quitta pour aller dans un autre hôpital tellement la puanteur était répulsive.

Après l’avoir déshabillé, nous l’avons lavé entièrement même ses organes génitaux. Quelqu’un m’a demandé: « Ah ! Comment pouvez-vous laver un tel endroit ?  J’étais jeune à l’époque, j’avais seulement trente ans. J’ai alors répondu à cette personne : « Quelle importance cela a-t-il ? C’est comme un doigt. Si nous vivions en ayant les doigts recroquevillés, nous serions honteux de les déplier. C’est la même chose avec les doigts. »

J’ai essuyé le corps taché de son sang avec Julio parce que les docteurs ne voulaient même pas le toucher et nous avaient demandé de le sortir rapidement. Sortez-le rapidement, il a tellement saigné qu’il n’y a aucune chance de survie pour lui. » Ils ne nous demandèrent pas de l’emmener dans un plus grand hôpital, mais de le ramener chez lui. C’est pourquoi j’ai prié pour lui à cet endroit-là, j’ai essuyé son sang et l’ai lavé. Ensuite les personnes présentes se mirent à brailler pour que nous l’emmenions tout de suite à cause de sa puanteur. Même les infirmières et les docteurs firent cette demande.

Après l’avoir lavé puis habillé, on l’emporta. Tous ces événements ont commencé vers dix heures du matin, et il était déjà cinq heures passés de l’après-midi quand nous avons quitté cet hôpital. C’est à ce moment-là qu’il sortit du coma. Il m’appela : « Madame comme un ange !» Je pensais que cela n’avait aucune signification mais je me rappelai à nouveau. Lorsque j’aidais le vieil homme malade, Bong Il-dong, je me rendais chez lui la nuit avec de la nourriture parce que les gens se méprenaient sur mon compte. Et cet homme qui était recouvert de son sang en face de mon appartement, était le même que celui qui dormait parfois dans la maison de ce vieil homme, Bong, parce qu’il n’y avait pas de place pour dormir pour lui.

C’est pourquoi il m’a reconnu et m’a appelé: « Madame comme un ange. » Je n’avais aucune faim dans mon ardent désir de le sauver quoique j’étais occupée de lui et n’avait ni déjeuné ni dîné. J’étais habituée à ne pas avoir faim même après trois jours passés sans consommer de nourriture pendant que je pratiquais l’amour pour les autres. Je ne pouvais pas ressentir la faim comme je ressentais la joie dont j’étais remplie.

Lorsque je sortis de l’hôpital, il était déjà neuf heures du soir. Il n’y avait pas d’épicerie située à cet endroit en ce temps-là. Et tous les restaurants étaient fermés. Pendant que nous cherchions de la nourriture, nous sommes allés aussi loin que Ham pyoung. Il n’y avait qu’un seul endroit ouvert là-bas. J’ai alors suggéré : « Allons manger un plat. » Mon mari, Ruffino et Andrew furent surpris et s’exclamèrent : «  Comment vas-tu pouvoir nourrir ce mourant ? »

Quand je priais: « Jésus, je Vous en prie, sauvez ce pauvre homme Vous-même», Il me répondit : «Comment les autres peuvent-ils comprendre ton amour ? Je suis toujours avec toi. » Donc, je croyais vraiment que Jésus allait le sauver. Je l’emmenais au restaurant pensant qu’il pouvait manger quelque chose. Les autres dirent : « Il y a un proverbe : Tous les corps n’ont pas la même apparence. La personne qui meurt en mangeant donne l’apparence d’être en bonne santé.’’ Et encore Ce serait bien s’il pouvait manger quelque chose. Or, il mangea une côtelette pour quatre personnes accompagnée de deux bols de riz. Une côtelette pour quatre personnes, comme cela a dû bien le nourrir !

Comme j’étais trop contente à chaque fois qu’il a pris une bouchée de mets, je priais Jésus en croyant que cela se réaliserait : «Jésus, bénissez et changez cette nourriture en Votre Précieux Sang provenant de Ses Cinq Plaies ainsi que de Ses Sept Plaies, en les larmes de la Sainte Mère, des larmes de sang, en l’huile parfumée et en le lait maternel de la Sainte Mère avec lequel l’Enfant-Jésus a été nourri afin que ce plat devienne une nouvelle médecine qui guérisse l’âme et le corps de cette personne pauvre. Amen. »

Cependant, cela était incertain puisqu’il pouvait mourir à chaque moment car il avait perdu trop de sang. Il n’avait même pas eu de transfusion sanguine. Il ne fit que dîner. (Cette nuit-là) je restais dans une pièce proche de la sienne pour voir ce qui lui arriverait. J’entrais fréquemment dans la pièce où il dormait pour vérifier son pouls ou écouter sa respiration. Je constatais qu’il était détendu et qu’il dormait très bien.

Le lendemain matin, je frappai à sa porte et entra. Il semblait en bonne santé assis dans son lit. Je lui demandai s’il allait bien. Et il me répondit par une question. _ « Est-ce que je suis au paradis maintenant ? Je n’ai jamais été aussi bien habillé que cela, ni ne suis jamais resté dans une pièce aussi agréable que celle-ci. » Et il continuait à dire qu’il se pinçait pour voir si c’était bien la réalité. Je lui racontai donc ce qui lui était arrivé.

Le lendemain, Martha nous rendit visite et elle était surprise de voir le vieil homme: « Oh, il est encore en vie ! Dieu, Notre Père a travaillé une fois de plus ! »

Oui, c’est juste. Car c’était impossible qu’il vive après ce qui lui était arrivé. Martha a continuer de dire qu’il était affreusement dégoûtant, plein de sang à cause de ce qui lui était arrivé (dû à ses sévères blessures à son corps), et elle voulait essuyer son sang qui coulait. Elle alla donc à un supermarché pour acheter des mouchoirs en papier.  

Mais l’employé du supermarché a dit: « Même les policiers l’ont ignoré le laissant seul. Pourquoi diable est-ce que vous achetez des mouchoirs pour lui? Il se moquait du vieil homme. Martha était donc très sceptique à savoir s’il allait survivre ou non. Mais après avoir revu le vieil homme chez moi, elle pouvait imaginer les situations. Comme les gens savaient bien que cette sœur (Julia) aimait les gens qui sont pauvres, ils l’ont fait savoir à Julia. Cependant, à sa grande surprise, le vieil homme s’était entièrement rétabli et c’est pourquoi elle a dit : « J’ai vu l’omnipotence de Dieu aujourd’hui. »

Ce matin, après que le vieil homme se soit réveillé dans une pièce de ma maison, je lui ai demandé : « Monsieur, est-ce que vous avez encore mal quelque part ? Il répondit : « Nulle part !» En fait, sa tête rasée avait trente-sept points de suture. Il y avait aussi du sparadrap avec de la gaze appliqué sur ses blessures depuis son passage à l’hôpital. Mais maintenant, tous les sparadraps et la gaze avaient disparu. J’étais surprise. Il était complètement et parfaitement guéri avec ses sérieuses plaies.

C'est surprenant. Il resta avec nous plusieurs jours et j’ai discuté avec mon mari afin de louer une chambre pour lui pour l’installer et de lui acheter un équipement pour l’habiller. Et nous avons pu louer une pièce à un propriétaire d’une maison. Mais lorsque nous avons amené le vieil homme dans cette maison, il nous redonna le premier règlement en nous disant : « Jamais nous n’accepterons cet alcoolique. » Lorsque nous avons trouvé une autre pièce avec un contrat de location, nous avons fait face au même problème avec le loueur qui disait : « Un alcoolique !!! »

C’est pourquoi il y a deux pièces dans la chapelle jusqu’à présent. (Nous avons établi ces deux chambres sous le nom de chambre de la grâce et chambre de la bénédiction tout juste pour le vieil homme.

Personne ne voulait qu’il vive avec eux dans leurs maisons. Il commença à habiter ici (la pièce de la grâce) en mars de cette année. Et plus tard, vers le mois de septembre de la même année. Alors que je priais en tenant ses mains devant la statue de la Sainte Mère, un bénévole m’a dit de venir à la maison (la maison est attachée à la Chapelle).

Je sortis et vis mon mari parler avec quelques messieurs bien soignés. Mon mari me dit : « Julia, ce sont les frères du plâtrier (le vieil homme). J’étais stupéfaite et pensais : « Est-ce vrai que ces messieurs sont ses frères ? Le plâtrier, le vieil homme, n’avait nulle part où aller et vivre et auparavant, il vivait dans l’entrepôt d’un immeuble et il était sur le point de mourir d’hémorragie sans l’aide de personne.

En les entendant parler, j’ai appris qu’ils l’avaient abandonné en raison de son addiction à l’alcool. J’ai appris qu’il avait une femme et des enfants qui ne vivaient pas loin de nous, de Gyo dong, de la Chapelle de la Sainte Mère. Ils reconnurent le changement de leur frère qui était devenu doux comme un agneau. Ils reconnurent qu’eux-mêmes avaient changé. Comme sa femme et ses enfants n’osaient pas venir le faire revenir au foyer, ses frères sont venus à leur place chez nous. Le monsieur qui avait une bonne apparence s’agenouilla puis nous dit : « Merci beaucoup, parce que vous avez changé mon frère qui étais tellement l’alcoolique à tel point ma famille ne peut pas vivre ensemble en un agneau impeccable. »

Ils ne dirent pas: « On va le prendre. », mais, « Pourrions-nous le prendre, lui, que vous avez transformé en un bonne personne ? »  Nous nous sommes exclamés : « Mais bien sûr ! Vous pouvez venir le prendre ! » C'était une bonne nouvelle! Je suis persuadée que le vieil homme va continuer de mener une bonne vie, celle d’une famille sainte et heureuse.

Je n’ai jamais pensé que je ne pourrai pas aller au ciel si je faisais telle chose ou si je ne faisais pas telle autre chose. Je fais juste de mon mieux autant que je le peux et j’avance autant que je le peux   en offrant des sacrifices et des réparations autant que je le peux. (Amen !)

Je suppose que: « Comme j’ai réalisé de nombreuses bonnes actions, Notre Seigneur sera certainement content ! Mais je ne pense vraiment pas de cette manière. Alors, à quel résultat est-ce que je m’attends?

En faisant de bonnes actions, qu’importe la difficulté pour moi, je le fais pour le bien des autres ; même si j’ai des difficultés et des peines, si je le fais avec amour, tout redeviendra ainsi normal.  

N’ai-je pas parlé de « la parabole des talents? » Dans la mesure où nous suivons les Paroles que nous a dites le Seigneur, nous pourrons donner plus de fruits dans des domaines infinis. Nous pouvons faire cela seulement si nous ouvrons largement nos cœurs en prenant de fermes résolutions.

Si nous n’arrêtons pas de nous plaindre de choses insignifiantes, ne recherchant les choses que pour notre propre bénéfice égoïste, alors nous nous compromettons avec les choses terrestres telles des actions indésirables qui nous bloqueront notre entrée au ciel. Mais vous êtes ici pour cheminer avec le Seigneur en faisant les Stations de la Croix avec le désir de participer et de prendre part à Ses souffrances, même partiellement. En tout cas, si vous répondez ‘’Non’’ à l’invitation du Seigneur pour cheminer avec Lui, évidemment cette invitation sera inutile.

Pendant que beaucoup de gens profitent de leurs vacances quelque part, vous, vous choisissez de faire le Chemin de Croix en réponse à Son invitation.  

Notre Seigneur qui pardonne même au pécheur le plus méchant, que ne vous donnerait-Il pas à chacun de vous qui êtes en train de marcher le long du Chemin de Croix afin de participer ensemble avec Jésus à Ses Souffrances.

Chers pèlerins! Aujourd’hui, que de nombreuses grâces soient avec vous ! Notre Seigneur et la Sainte Mère vous aiment tant ! (Amen)

L’Amour, l’Amour, l’Amour, le matin et aussi l’après-midi.
L’Amour, l’Amour, bien le soir.

Alléluia! Alléluia! J’ai obtenu la victoire!
Alléluia! Alléluia! Nous tous, nous obtiendons la victoire!
Remportons la victoire! Merci!

Méditons sur ce que Notre Seigneur et la Sainte Mère nous disent. Mettez votre main sur le cœur.

Jésus nous a donné ce message d’amour, le 6 mai 2005.

« Mes petites âmes que j’aime énormément ! Même beaucoup de religieux, qui ont été spécialement appelés, disant qu’ils Me font connaître, ont perdu le sens de l’orientation. Ils sont secoués comme un bateau qui tangue et ils détournent leur face de la vérité. Mais n’oubliez pas que le Royaume de Dieu n’appartient pas à ceux qui détournent leur face de Moi, mais à vous qui travaillez pour moi. Même si Satan apparaît avoir du succès en apportant la ruine, Je serai toujours avec vous à travers ma présence invisible. N’arrêtez pas et n’ayez pas peur mais allez de l’avant courageusement et faites connaître Mon plus sublime amour et celui de Ma Mère. » Amen !

Ceci est le message d’amour de la Sainte Mère, le 6 mai 2006.

« Mes enfants bien-aimés qui avez été spécialement appelés et qui avez répondu “Amen” !

Ne vous inquiétez pas, n’hésitez pas, mais faites de votre mieux en pratiquant et en répandant les messages d’amour que cette Mère qui vous aime tant vous donne à travers la petite âme que j’ai choisie. Alors, l’amour de mon Fils Jésus ainsi que le mien brilleront largement sur vous et vous hériterez de l’arbre de la vie éternelle au dernier jour. » Amen !

Que les Messages d’Amour de Notre Seigneur et de la Sainte Mère se réalisent pour vous tous tels qu’ils sont.

Fermez les yeux. Donnez votre cœur à Jésus. Si vous accourez à Lui à travers la Sainte Mère, c’est un raccourci pour aller à Jésus.

Regardons si nous endurcissons nos cœurs ou si nous les ouvrons largement pour recevoir Notre Seigneur, ou alors – c’est une leçon de la parabole des talents- si nous rendons cinq talents à Notre Seigneur pour les cinq talents qu’Il nous a confiés, ou bien si nous l’enterrons dans le sol. Demandons pardon à Notre Seigneur et à la Vierge Marie pour nos erreurs.

A présent, déposez devant Jésus tous les épreuves que vous avez traversées alors que vous étiez en train de faire connaître Jésus et la Sainte Mère que vous suivez. Notre Seigneur guérira vos blessures, toutes vos blessures infligées par l’Eglise ou les membres de votre famille parce que vous avez suivi la Sainte Mère de Naju. Je Leur demande de vous guérir tous aujourd’hui !

Qu’importe vos souffrances et votre fatigue, car Notre Seigneur et la Sainte Mère vous guideront dans le ténébreux labyrinthe si vous Les suivez avec l’esprit des martyrs en vous donnant  complètement.Notre Seigneur reconstruira certainement pour vous les lieux détruits par Satan afin de remporter la victoire.

Offrons vers le haut nos cœurs blessés remplis de tristesse y compris également nos cœurs joyeux et heureux. Combien plus de difficultés Notre Seigneur a-t-il eu pour finalement nous transformer, nous qui sommes des pierres rudimentaires, en magnifiques jades arrondis. A présent, faisons plus, non seulement devenons des pierres précieuses de jade mais devenons aussi des fleurs de consolation qui seront les préférées de Jésus.

Confions maintenant toutes les choses douloureuses à Jésus et à la Sainte Mère. Ce monde corrompu qui est devenu plus pervers qu’au temps de Sodome et Gomorrhe ou qu’au temps de Noé et Babel, mérite le châtiment maintenant.

Mais Notre Seigneur est venu sur la montagne de la Sainte Mère à Naju comme une lumière d’espoir. Je Vous en prie, guérissez tous vos enfants qui sont rassemblés ici, guérissez même leurs familles. Que vos mains toutes puissantes que Vous-seul possédez, se tendent vers ses enfants et bénissez-les de la tête aux pieds pour les guérir. Enlevez complètement leurs mauvaises habitudes. Je prie pour que Vous les gardiez en bonne santé afin de travailler pour le triomphe du Seigneur et de la Sainte Mère à travers Votre bénédiction infinie.  

De plus, bénissez et accordez de nombreuses grâces à ceux qui détournent leur face de Naju après avoir reçu tant de grâces ici afin qu’ils retournent dans les bras du Seigneur et de la Sainte Mère et qu’ils soient sauvés.

Alors nous pourrons rendre gloire au Seigneur, consoler à la Sainte Mère. Que nous vivions une vie de gratitude qui ne tarisse jamais.

Oh, Seigneur! Vous qui connaissez tous les chagrins de tous ces pécheurs,
Je Vous en prie, lavez mon passé blessé avec le Précieux Sang de Jésus.
Embrassez-moi, pécheur perdu et errant que je suis.
Vous êtes le seul sur lequel je compte.

Mon Père, Jésus et Vous, la Sainte Mère,
alors que j’errais, que j’étais à l’agonie,
Vous m’avez trouvée et vous m’avez appelée.
Alors je m’approche de Jésus par l’amour de la Sainte Mère
En versant des larmes de repentir
Et en souhaitant être guérie.

Dans le passé, j’ai commis des péchés,
mais je ne reconnaissais pas mon état de pécheur ;
A présent, dans la spiritualité de « C’est de ma faute »,
je vais consoler les Cœurs de Notre Seigneur et
de la Sainte Mère qui sont réduits à l’état de cendre.
Je mènerai une vie de résurrection en pratiquant l’amour héroïque.

Cliquez : Extraits du Témoignage de Maman Julia, le 6 mai 2017 (PDF)