- Pourquoi la Vierge pleure-t-Elle?


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- Qui est Julia Youn?

- Cinq parcours 
d’exercise spirituel pour la sanctification


- Le Témoignage
et l'
Expérience de sa foi, Julia


- Les témoignages de Julia au cours de la veillée de prières du premier samedi
 

- La douleur de Julia
comme âme de
victime

 

 

Extraits du témoignage de Maman Julia et de sa prière de guérison
( le 3 novembre 2018, le premier samedi)

 
 

 

https://youtu.be/c2bh1JW2mhQ

 

bullet03_glitter.gif  Loué soit le Seigneur! Louée soit la Sainte Mère! 
 

 

Je suis venue ici parce que vous me manquiez tant. Subitement, comme je ne pouvais plus respirer, on m’a dit : « Allons à l’hôpital de Naju. »

 

A l’hôpital de Naju, j’ai été diagnostiquée avec une insuffisance cardiaque et un oedème pulmonaire qui remplissait mon poumon. Après trois jours de traitement, je suis revenue à Naju pas même pour me préparer à une hospitalisation, car là, le docteur a dit : « Vous devez être hospitalisée immédiatement. » et j’ai obtempéré. Mais au bout de huit jours, j’ai demandé une décharge précoce de l’hôpital afin de vous rencontrer tous.

 

Mais lorsque j’ai fait une demande de décharge précoce, le docteur la rejeta catégoriquement puisque j’avais de nombreuses maladies en même temps. Les docteurs ont dû se rencontrer pour prendre une décision ensemble. Les trois docteurs ont dit : « Jamais ! Il n’en est pas question. ». Je leur ai demandé instamment : « Ecoutez, je dois y aller. » Ils m’ont demandé : « Avez-vous vraiment besoin d’y aller ? » Je leur ai répondu : « Oui, je dois y aller. »

 

Ils insistaient : « On ne peut pas vous laisser partir dans ces conditions. » Comme je suis têtu, ils m’ont demandé d’écrire une lettre de garantie. Alors, je leur ai dit : « D’accord, je vais écrire une lettre pour dégager la responsabilité de l’hôpital si je meurs. » Je l’ai écrite puis, finalement, je suis venue ici. De toute façon, ça me fait tellement plaisir de vous revoir tous. Bien qu’on m’ait fait de nombreuses piqûres à l’hôpital, je n’allais pas mieux.

 

En quittant l’hôpital, j’ai pensé : ‘J’espérais que ça irait un peu mieux avec un traitement médical. Mais le Seigneur m’a accordé ces souffrances pour les pélerins venant à la Vigile du premier samedi du mois. ’ (Amen!)

 

Depuis ce matin, j’ai le nez qui coule abondamment. J’ai donc pensé : ‘ Oh, les personnes qui ont attrapé froid vont guérir. Oh Jésus m’a accordé de si nombreuses souffrances parce qu’Il aime nos pélerins et les guérit. Merci Jésus! ’ J’espère donc que tout le monde sera guéri.

 

Aujourd’hui, je me suis levée difficilement du lit à 12h30. J’ai trouvé que ma paupière gauche avait disparue parce qu’elle était trop enflée et ce n’est qu’avec peine que je pouvais ouvrir les yeux. Comme mon visage était constamment enflé et comprimé, quand j’ai regardé mes vieilles photos, j’ai trouvé que mon visage semblait parfois beau et parfois non. Eh bien, peu importe comment ça se passe, j’en ris maintenant.

 

Laissez-moi vous parler des souffrances que j’ai eues. En 1986, la statue de la Sainte Mère était enchâssée dans la chambre à coucher de notre appartement de Su-gang, au numéro 301. Un jour, j’étais sortie de l’appartement 302. En entendant dire que « la Sainte Mère est en train de pleurer maintenant », je me suis précipitée dans la pièce en gardant mes chaussures mais l’une d’elles se détacha et s’en alla quelque part. Dès le seuil de la porte d’entrée, j’ai été projeté dans la chambre et suis tombée aux pieds de la Sainte Mère puis j’ai reçu des souffrances. »

 

 

J’ai souffert quand la Sainte Mère, Vierge Marie était en train de pleurer , puis j’ai encore souffert quand elle a pleuré des larmes de sang. J’étais tellement heureuse puisque j’étais en train d’offrir mes douleurs pour le repentir des pécheurs. Lorsque je suis allée au Ciel, j’ai dit : « Je ne retournerai pas dans le monde. Je n’y retournerai pas. » mais maintenant, je pense que je ne dois pas aller au Ciel maintenant. Il y a encore tant de travail à faire. Tous les pèlerins de Naju n’ont pas encore été sanctifiés spirituellement, n’est-ce pas ? (Non.) Honnêtement, beaucoup d’entre vous ne sont pas encore sanctifiés. (Oui.) Moi non plus.

 

Jésus a dit qu’Il viendra à nous accompagné de la Sainte Vierge et de ses anges, avec le châtiment et la récompense. Mais nous ne savons pas quand le feu sera envoyé. Nous ne savons pas quand Il nous apportera la récompense. Alors il y aura un nombre incalculable de personnes qui iront en enfer avec le feu, et seulement un petit nombre sera récompensé. Mais je prie pour vous afin qu’aucun de vous ne soit exclu de ce petit nombre de personnes qui recevront leur récompense. (Amen!)

 

Si vous acceptez sans irritation toutes les choses telles qu’elles sont et si vous vous armez des Cinq Spiritualités, alors nous irons directement au Ciel. Jésus nous l’a dit, parfois Il fouette ses enfants bien-aimés et les met à l’épeuve. Je vous l’ai déjà dit que Jésus m’a mis à l’épreuve bien des fois. Mon père était enseignant et je suis née dans une famille riche. Mais « La Guerre Coréenne » éclata le 25 juin 1950, une guerre tragique où les gens du même groupe ethnique ont combattu les uns contre les autres. C’est ainsi que j’ai perdu toute ma famille. Seule ma mère et moi sommes restées.  

 

Depuis lors, je suis passée à travers de nombreuses souffrances et j’ai vécu avec la spiritualité de Semchigo. Dès ma jeunesse, j’aurais dû pleurer en secret, mais, au lieu de cela, j’ai considéré tout cela comme si j’avais été aimée. J’ai vécu ma vie avec l’esprit de Semchigo. Peu importe ce dont je souffre, je n'ai jamais parlé de ma souffrance à personne, pas même à ma mère, jusqu'au moment où elle est morte.

 

J’ai pu mener ma vie en vivant personnellement la Spiritualité de Semchigo. J’étais capable de conduire ma vie grâce à la Spiritualité de Semchigo. Grâce à cela, j’ai été capable d’offrir tout en sacrifice vers le haut.

 

Quand j’étais jeune, je ne savais pas ce que signifiait « Offrande », mais je pratiquais déjà les Cinq Spiritualités. C’est la vie que Jésus m’avait préparée préalablement. Même lorsque je me suis mariée et que j’ai vécu dans la maison de mes beaux-parents, parce que je n’avais que ma mère qui était veuve et que j’étais dépourvue de proches ou de famille intermédiaire, j’ai alors été méprisée par mon beau-père, ma tante du côté de mon mari et même de mes belles-soeurs.

 

Quand je suis allée dans la famille de mon mari, les filles de ma belle-mère, en me voyant, me tournaient le dos. Ce jour-là, j’avais apporté quelques grappes de raisin. Quand ma belle-mère famille du mari leur a dit : « Dites-lui bonjour. », elles ont seulement pris le raisin puis ont dit : « Pas maintenant, plus tard. » Elles étaient diplômées de l’université, mais en ce qui me concerne, ce n’était pas le cas. C’est la raison pour laquelle elles me regardaient de haut et m’ont donné une vie difficile chez mes beaux-parents.

 

Un jour, je suis allée les voir avec mes bébés. L’aîné marchait et je portais le plus jeune dans mon dos. En été, il y avait beaucoup trop de moustiques dans les régions rurales.

 

Ma tante du côté de ma belle-famille m’a dit de piler le riz et de le cuire dans la marmite. J’ai essayé de les tremper dans l’eau mais ça ne marchait pas bien. Je m’efforçais de les écraser pendant que j’alaitais mon bébé qui s’est mis à pleurer quand des moustiques ont piqué mon bébé. Alors ma tante m’a dit : « Tout cela c’est ton devoir ! »

 

Mon mari était le premier-né dans la treizième génération. Imaginez le nombre de parents qu’il avait. Comme j’étais la fille d’une veuve, ils ont essayé de se débarrasser de moi. Un jour, ma belle-mère, la tante et la grand-mère de ma belle-famille m’ont emmenée chez un voyant. Tous ensemble, y compris le voyant, collaborèrent pour me dire : « Elle ne doit pas rentrer dans notre famille. Chassons-la de notre famille. »  Le voyant tout d’abord m’a dit: « Comment celle-là qui est orpheline de père et qui vient d’une famille pauvre vient-elle perturber la famille ! Vous devez la chasser immédiatement. »

 

Alors, subitement le voyant s’est mis à crier après elles: « Vous, Mesdames! » Puis il hurla à haute voix: « Vous avez maltraité la plus noble qui devrait être assise sur un coussin doré. » En entendant cela, la tante du côté de ma belle-famille tomba sur les genoux et demanda pardon en disant : « J’ai eu tort. J’ai eu tort. »

 

En fait, ce n’était pas un voyant inspiré, mais Dieu l’avait préparé de cette façon et le Saint-Esprit l’a guidé depuis le début. Depuis ce moment-là, elles ne purent trouver aucune raison pour m’exclure de leur famille.

 

 

Mon beau-père était diplômé de l’Université Nationale de Séoul. Il avait aussi étudié à l’Université de Waseda au Japon. Julio était né à Tokyo au Japon. Mon père lui aussi était diplômé de l’université. Mais tout a mal tourné avec la Guerre de Corée. Quand les gens me méprisaient, et oui, je pratiquais le Semchigo considérant ce qui m’arrivait comme si j’avais été aimée. Je n’ai jamais pensé : « Pourquoi me font-ils ça ? »

 

Je me suis bien entendue avec mon beau-frère et ma belle-soeur. Nous vivions ensemble comme des jumaux jusqu’à mon mariage avec Julio. S’ils aimaient mes vêtements, je les prenais et les leur donnais. Quand ils voulaient quelque chose, je l’achetais pour eux même en vendant les objets en or que je possédais.

 

Un coquillage qui est plus gros que le creux de ma main était assez coûteux autrefois. Comme mon beau-père l’appréciait, je lui en ai acheté un. J’ai également acheté un sac de coquillages pour les deux plus jeunes jumeaux dans ma belle-famille. D’autre part, pour mes propres enfants, je ne pouvais même pas leur acheter des fruits.   

 

Occasionnellement, j’achetais des fruits mangés par les vers, voire même des fruits flétris, puis j’enlevais les parties pourries et les donnais à mes propres enfants tandis que je traitais si bien ma belle-famille. Même maintenant, cela me fait de la peine pour mes enfants qui étaient si affamés. Malgré cela, je voulais vraiment bien nourrir ma belle-famille.

 

Même en cuisinant les coquillages pour eux, j’ouvrais le coquillage puis le prenais pour les jumeaux de ma belle-famille pour leur faire goûter, mais je n’ai jamais pris un morceau pour le manger. L’un des jumeaux du côté de mon mari se maria plus tard et dit : « Cette femme ne mange pas de coquillages. » Alors, je lui ai dit : « Moi aussi j’aime manger les coquillages. » Et il me dit:« Je ne savais pas que vous aimiez les coquillages. »

 

C’est ainsi que j’ai vécu. Lorsque j’alaitais mon fils aîné, j’ai été infectée par la mastite. J’ai nourri le bébé pendant deux mois sur les douze afin de remplir une année complète d’alaitement. A chaque fois que je lui donnais le sein, j’ai dû lutter pour contenir la douleur et les saignements avec la mastite. J’ai arrêté d’alaiter après une année. Alors, quand j’ai essayé d’arrêter l’allaitement, il pleurait en me regardant (en cherchant le sein), même lorsque la lumière était éteinte. C’est donc la raison pour laquelle ma mère l’a éloigné de moi.

 

Donc, comme ça aurait été bien si j’avais pu me reposer chez moi (sans le bébé). Mais je n’ai jamais pu prendre un peu de repos. Je voulais aider encore plus ma belle-mère, c’est pourquoi je suis revenue chez elle. Il me restait beaucoup de lait maternel dans les seins. Ainsi, ma poitrine était gonflée, comme cela, mais je n’avais pas les moyens d’acheter un tire-lait. et ainsi je me débattais avec des douleurs.

 

Ma belle-mère me demanda de piler du riz pour faire un gâteau de riz, j’étais donc en train de piler du riz. Comme c’était douloureux! Je pense qu’il n’y a personne au monde qui ait fait cette expérience juste après le sevrage. J’ai une grosse poitrine à cause de l'inflammation des seins. alors imaginez comme ça a pu être douloureux avec ma grosse poitrine. J’ai vu des étoiles chaque fois que je contractais des douleurs terribles à cause de l'inflammation des seins.

 

Ma belle-mère a ouvert la porte et m’a dit : «Oh non ! Quel bonheur d’avoir une belle-fille en bonne santé ! » J’ai alors pensé en moi-même : « Bon, considérons ce qui s’est passé comme si j’avais été aimée d’elle. » Ce n’était pas nécessaire pour moi de subir cela si je n’y allais pas chez mes beaux-parents en premier lieu. Mais je suis allé là-bas parce que je voulais l’aider.

 

Si je me mets à penser: « Pourquoi devrais-je venir ici sans prendre le temps de me reposer puis subir ceci ? » Alors, à partir de ce moment-là, les démons se réjouissent. Donc, nous ne devons pas divertir les démons. Il y a beaucoup de choses semblables à celle-ci qui se passent dans nos vies. Vous devez l’offrir bien davantage si une telle chose vous arrive. (Amen!) J’ai donc considéré ce qui avait eu lieu comme : « Oh, comme tu es bon! Malgré tu as du mal avec douloureux avec ma grosse poitrine en raison de l'inflammation des seins. » J’ai pratiqué la spiritualité de Semchigo et je lui ai fait un bon gâteau de riz.

 

 

Un jour, quand mon plus jeune enfant n’avait qu’un an, je préparais une fête pour le soixantième anniversaire de ma belle-mère. Gentiment, je lui ai demandé : « Pourriez-vous venir et vous occuper du bébé la veille de la fête ? » Je le lui ai demandé parce que je devais travailler dans le salon de coiffure et, en même temps, préparer la nourriture pour la fête. On avait l’habitude d’organiser de telles fêtes chez soi, contrairement à ce que l’on fait de nos jours. J’ai tout préparé moi-même à la maison. Puis j’ai invité tous les hôtes du village mais elle m’a reproché de ne pas avoir invité un hôte spécifique.    

 

Or ma belle-mère avait dit elle-même qu’elle inviterait cet hôte. Bien que je lui aie demandé de venir s’occuper du bébé la veille de la fête, elle ne vint que le jour de la fête à 11h00 du matin accompagnée de quelques membres de sa famille. J’ai donc pratiqué le Semchigo en considérant qu’elle était venue la veille et m’avait aidée pour s’occuper du bébé. Nous ne devons pas nous faire des reproches les uns aux autres. Si nous nous faisons des reproches, cela ne fait que réjouir les démons ! En pratiquant la spiritualité de Semchigo, c’est-à-dire en considérant qu’elle était venue la veille et qu’elle avait pris soin de mon bébé, j’ai pu l’accueillir chaleureusement pour lui faire plaisir.

 

Si je lui avais dit: « Oh, pourquoi n’êtes-vous pas venue hier ? », comment les choses se seraient-elles passées ?

 

Est-ce que c’est juste de la mettre mal à l’aise le jour de son soixantième anniversaire autour d’un somptueux repas ? Généralement, les gens passent par des moments difficiles à l’occasion d’une telle fête.   

 

Personnne parmi vous ici présents ne ferait cela. Vous n’avez pas à mettre les gens mal à l’aise. Donc, même si vous haissez votre mari et lui dites : « Mon amour, je t’aime. » Alors il dira : « Quoi, est-ce que cette femme n’est pas folle ? » mais, en réalité, il aimera ce que vous lui avez dit dans son esprit. En écoutant : « Je t’aime », il répond : « N’est-ce pas fou ? ». Mais plus tard, il vous dira : « Moi aussi, je t’aime. » (Amen !) Et alors, cela se transforme en un véritable amour. Même si vous ne ressentez pas ce que vous dites, dites : « Je t’aime. Je t’aime. » (Amen!) L’amour reviendra sûrement comme l’écho qui résonne.

 

Je vous en prie, comprenez-moi même si je parle en même temps de différents sujets. Je veux juste partager mon amour avec vous à tel point que je ne peux pas m’arrêter de parler alors que j’ai dit que je finirai ma communication avec ce message. Pour en revenir à l’histoire précédente, ma belle-mère est revenue le lendemain puis m’a dit : « Pourquoi ne l’as-tu pas invité ? » Je lui ai répondu : « C’est vous qui deviez l’inviter. » Et alors, elle s’en est souvenue. Cependant elle continuait de me donner tort et de m’injurier sur d’autres sujets.

 

C’est pour cette raison que ma mère est sortie pour dire: « Puisque c’est un salon de coiffure, pourquoi n’entreriez-vous pas dans cette pièce pour disuter ? » Mais elle poussa exprès ma mère sans pitié. J’ai surmonté toutes les difficultés même lorsque j’étais piétinée, battue avec des bâtons et d’autres choses, poussée dans un ravin, y compris des choses terribles que l’on m’a lancées et l’argent qu’on m’a dérobé.  

 

J’ai essayé de diriger une école ensemble avec une autre personne. Mais il a pris tout l’argent. Puis, j’ai souffert d’avoir été battue tant de fois au point de saigner et d’avoir tout le corps contusionné. Néanmoins, j’ai toujours vécu avec la spiritualité de Semchigo. Cependant, à ce moment-là (lorsque ma mère a été blessée par ma belle-mère), je ne pouvais pas faire d’offrande en pratiquant le Semchigo. A quel point ma mère ne vivait que pour moi ! ...

 

(Toux) Quelle prière pourrions-nous prier maintenant ? Transformer notre toux en prières, « Seigneur, libérez nos âmes et nos corps de toutes nos mauvaises actions ! » (Amen !) Devrions-nous le faire ? (Oui !) Même si vous faites un prout, non seulement vous mais aussi la personne qui vous entend péter peut prier ensemble autant que possible. Ne dites pas: « Oh non, mon Dieu ! » mais priez ainsi : « Amen ! Jésus, je vous en prie, enlevez toutes les mauvaises choses qui sont en nous ! » Quand vous allez aux toilettes, priez : « Je Vous en prie, laissez sortir du corps de cette personne, y compris du mien, toutes les mauvaises choses ! » Vous pouvez prier de cette manière là. Ainsi, nous pouvons transformer absolument tout en prières.

 

Peu importe à quel point j’étais malade, je n’ai jamais manqué de recevoir la Sainte Communion. Jésus est mon Bien-Aimé. Je ne connais personne sauf Jésus. J’ai tellement aspiré le Sacré-Coeur de Jésus que je ne pourrais plus supporter si j’omettais de recevoir la Sainte Communion.

 

 

Cependant, pendant deux jours, bien que j’aie assisté à la Messe, je n’ai pas pu recevoir la Sainte Communion parce que je ne pouvais pas pardonner à ma belle-mère. Elle m’avait dit : « Toi, garce ! N’oublie pas que tu as rencontré un bon mari. Mais, n’as-tu jamais servi de plats pour beaucoup ses frères ? Ne les as-tu jamais éduqués? » Or, je payais tous les frais de scolarité pour ses trois frères.

 

Mon mari Julio n’en savait rien lui non plus. Je ne lui avais pas encore tout dit. En ce qui concerne son frère qui est devenu juge plus tard, en plus de l’appui financier mensuel, je lui ai envoyé 200.000 wons, parfois 100.000 wons, parce que dans les années 70, une telle somme d’argent représentait un montant incroyable. Après cela, j’ai fait aller les trois autres frères à l’université.

 

Quant au cinquième frère, j’ai payé ses frais d’études. Il a étudié à Séoul, puis il est devenu juge. Pour ce qui est du sixième frère, il a étudié à l’université de Kwangju et nous avons également payé ses frais d’études. Nous avons aussi payé les frais d’études pour le huitième enfant, sa plus jeune soeur. Mon mari julio ne connaissait pas tout en détail. Il savait seulement qu’une certaine somme d’argent était déduite de son salaire chaque mois et envoyée régulièrement à ses frères.

 

Ma mère m’a dit: « Je vais travailler la terre jusqu’à ce que ton beau-frère passe son examen du Barreau. » Ma mère a fait des travaux agricoles non seulement dans notre propre champs mais aussi en fermage et elle a fourni toutes sortes de produits agricoles variés à la famille de mon mari.    

 

Mais , malgré cela, ma belle-mère l’a poussée si fort qu’elle s’est blessée gravement au dos. Donc, je devais donner à manger à ma mère. C’est pourquoi je suis allée à la Messe pendant deux jours, mais je n’arrivais pas à lui pardonner. Cependant je ne pouvais plus rester sans recevoir la Sainte Communion parce que j’étais spirituellement affamée. Donc je suis allée dans huit endroits différents pour me confesser.

 

Mais, je n’ai pas réussi à me confesser. Je m’étais levée à 5h00 du matin, j’avais pris un bain puis m’étais rendue à la paroisse de Naju pour la confession, allant d’église en église. Mais tous les prêtres étaient absents ce jour-là. C’est ce que le Seigneur avait prévu pour moi.

 

Ne vous plaignez de rien! (Amen!) Cette pensée n’a jamais traversé mon esprit: « Pourquoi une telle chose m’arrive-t-elle aujourd hui ? » J’étais juste dans le bus en direction de Gwangju. Comme je mettais du temps à descendre du bus, l’assistant du chauffeur de bus m’a poussé violemment hors du bus. Je ne suis pas tombée sur la route mais sur autre chose, un vieux mendiant qui était couché à terre. Mais il ne respirait pas et était mort, il portait une veste en cuir. C’était le temps du Carême.

 

J’ai alors prié: « Jésus, je suis indigne et à présent dans le péché. J’ai essayé de me confesser, mais je n’ai pas encore pu me confesser. Jésus, je Vous en prie, guérissez-le à travers la main de cette pécheresse. Relève-le. » Et il se leva. (Amen!) (Applaudissements) J’ai enlevé la poussière de ses habits. Chaque fois que je vais me confesser, je prends un bain et je porte un costume. Ce jour-là je portais un costume sombre. Alors il m’a dit : « Ca va, ça va. » Puis, avec sa main, il m’a tapoté la joue trois fois de suite. A cause de son contact, mon costume foncé était recouvert de terre. J’ai essayé d’enlever la saleté mais je n’y suis pas arrivée. Je n’ai pas voulu le faire parce que cela aurait trop sali mes mains.

 

J’ai voulu partir mais j’ai remarqué: « Ah, je ne lui pas donné de sous ! », et je me suis retournée pour lui donner de l’argent. Mais il avait simplement disparu. J’ai donc demandé si on le connaissait dans les alentours, mais personne ne le connaissais. C’était Jésus. (Amen!) Il voulait simplement m’éprouver. Donc, ne passons pas simplement devant chaque affaire y compris les choses sans importance durant les jours de notre vie. Frères et soeurs, faisons tout par amour. (Amen!)  

 

Alors, je suis allée à la cathédrale de Buk-dong mais, à nouveau, le prêtre n’était pas là. Alors que j’allais y renoncer, je vis un homme qui s’absentait. C’était justement un prêtre. Mais je ne le savais pas. C’était Presque l’heure de la Messe du soir. Comme j’étais membre du « Service Charismatique », j’ai demandé au président de cette association: « Où pourrai-je me confesser et participer à la Messe ? » Il m’a répondu : « Va à la Cathédrale de Honam-dong. » J’y suis donc allée et j’ai constaté que l’homélie avait déjà commencé. Le sujet de la conférence était Moise et le bâton. Vous devez écouter cette histoire avec attention.  

 

   

La Sainte Mère de Naju vous a appellés en tant qu’Apôtres. (Amen !) Et vous êtes parmi ceux qui ont répondu « Amen. » C’est pourquoi, ne regardez jamais en arrière, mais armez-vous bien des Cinq Spiritualités jusqu’à la fin, puis, lors de votre dernier jour, vous serez escortés par les anges pour aller au Ciel. (Amen !).

 

Vous avez tous des souffrances. Cependant, ce que la Soeur a dit c’était pour faire un bâton et l’utiliser. Tout d’abord, on doit couper un arbre. Mais un arbre tordu ne peut pas être utilisé, seulement un arbre droit. L’arbre droit doit être coupé. Cela signifie que vous avez été coupés comme des arbres droits. Je vous en prie, retenez bien que nous avons été coupés comme des arbres droits ! Donc, nous devons grandir rapidement et en beauté, pas de manière biscornue. Alors, l’arbre ne peut être utilisé sans que ses branches ne soient taillées.

 

Ainsi les branches doivent être coupées. Aussi, on ne peut pas utiliser l’arbre avec son écorce. Alors il faut enlever l’écorce pour rendre l’arbre lisse. C’est donc douloureux d’être coupé, y compris les branches. Et c’est encore plus douloureux d’être décorcé. (Oui!) C’est douloureux quand on est utilisés comme des instruments. Je veux dire que nous devrions sublimer cette douleur gracieusement à l’aide des Cinq Spiritualités. Quand j’ai entendu cette histoire, je n’ai eu besoin d’aucunes autres  paroles ni d’aucune explication. « Ah! Afin de m’utiliser comme Son bâton, Il m’a permis aussi d’avoir toutes ses souffrances ! »

 

Ainsi, ma belle-mère est devenue ma bienfaitrice. Ce n’était plus nécessaire pour moi d’écouter autre chose. Il n’y avait pas de Messe célébrée à ce moment-là. Mais j’ai gémis beaucoup quand j’ai réalisé que Sa Volonté, Sa Lumière a brillé de Jésus provenant du tabernacle. Après être retournée à la maison, j’ai dit à Julio: « Julio, Julio, voici ce qui s’est passé. » « Allons demander pardon à ta Mère. » Il répliqua: « A propos de quoi devons-nous lui demander pardon ? » Mais en tout cas, il est venu avec moi. Je me suis agenouillée et j’ai fait une grande courbette devant elle en disant : « Mère, vous êtes ma bienfaitrice. Mère, c’était de ma faute. Je vous en prie, pardonnez-moi. »

 

« Quoi? Qu’est-ce que vous avez fait de mal ? Qui d’autre est bon comme toi et mon fils? » répliqua-t-elle. Elle n’arrivait même pas à se souvenir de ce qu’elle avait fait. Cela signifie que ce n’est pas elle qui l’a fait. C’est Dieu qui lui a enseigné de me faire cette chose-là. Il m’a mis à l’épreuve par son intermédiaire. « Regarde comme tu supportes bien cela. » Pour ce qui est de ce mendiant, ce n’était pas un mendiant ordinaire, mais c’était Jésus lui-même. C’est par l’intermédiaire de ce mendiant que Jésus s’est montré en personne. Cela explique donc qu’Il ait pu disparaître en une seconde.

 

Le lendemain, parce que j’avais aimé la lecture d’hier, j’en ai parlé aux gens à Naju et aux bénévoles de la paroisse de Gwangju. Mais personne ne connaissait l’histoire du bâton. J’ai réalisé que c’était Jésus qui m’avait parlé exclusivement. Jésus a fait cela en personne pour moi. Donc, quand c’est nécessaire, Il nous répond personnellement de cette manière-là.

 

Chers pélerins, vous pouvez librement transmettre beaucoup de bonne paroles. Mais vous ne devez pas transmettre de mauvaises paroles à tort. De nos jours, j’ai entendu dire que les mauvaises paroles, qui sont des mensonges, sont transmises avec insouciance et causent tant de dégâts en ces derniers jours. Lorsque nous transmettons ce que nous avons mal compris et déformé, nous sommes nous-mêmes la cause qui entraîne beaucoup d’autres personnes à pécher. Donc, il nous faut être vigilants. Si nous diffusons ce que nous avons mal compris ou déformé, cela se développe en un problème sérieux et irréversible.   

 

C’est pourquoi nous devons vivre notre vie en nous aidant les uns les autres dans le cadre de notre travail. Bien sûr, la mission qui m’a été attribuée et celle d’une autre personne est différente, mais lorsque nous achevons le travail qu’il nous reste à accomplir, nous devrions aussi aider les autres personnes à achever leur travail. Ceci c’est l’amour, n’est-ce pas? Cependant, dire : « J’ai déjà fini mon travail, donc je ne peux pas t’aider dans ton travail ! » Le travail de cet homme ou de cette femme, ce n’est pas leur travail mais le travail de la Sainte Mère. Si nous pensons ainsi, tous nos mérites accumulés pour lesquels nous avons durement travaillé vont s’effondrer en ruines.

 

C’est pourquoi, nous devrions toujours être gentils et tendres. Il y a une personne qui occupe un haut rang, et son employé avait fait une erreur parce qu’il n’était pas intelligent. S’il envers son employé, « Zut ! je préfère mourir que vivre avec une telle personne », alors il aurait mieux valu lui dire : « Vous êtes viré. » plutôt que de maudire l’employé. S’il continue d’agir ainsi, la pauvre victime finira par souffrir de dépressions, de désordres bipolaires et il se peut qu’elle commette un suicide plus tard.

 

Et qui que nous soyons, que nous soyons jeunes ou vieux, nous devrions toujours nous respecter et nous aimer les uns les autres. Si quelqu’un n’arrive pas à bien faire son travail, nous devons seulement nous compléter mutuellement. Si quelqu’un fait mal son travail, nous devons dire : « Ah, je te l’ai déjà dit mais tu n’as pas saisi ce que je t’ai dit. Tu devrais plutôt faire ceci, (en lui expliquant gentiment) ». Si un homme ou une femme me demande : « Ah, qu’est-ce que vous avez dit ? » Et que nous lui répondions : « Je te l’ai déjà dit ! Ce n’est pas possible ça ! » Nous ne devrions jamais répondre de cette façon-là.

 

Auparavant, un prêtre étranger m’a demandé: « Julia, avez-vous compris ce que je voulais dire ? » Alors je lui ai répondu : « Non, je n’ai pas bien compris ... » Alors il m’a dit : « Si vous ne me comprenez pas, ne vous inquiétez pas de me poser encore une fois la question. » Ainsi, la fois suivante, je lui ai demandé sans me faire de souci. Alors, il s’est écrié : « Julia, pourquoi ne comprenez-vous pas comme ça ! Toutes les autres personnes me comprennent sans aucun problème quand je demande quelque chose au supermarché. Mais pourquoi ne comprenez-vous pas ? Quand je demande des saucisses dans le supermarché, alors, on me donne des saucisses. Quand je demande du jambon, par conséquent, on me donne du jambon. Mais pourquoi ne comprenez-vous pas, Julia ? »   Après cela, je n’aurais jamais osé lui parler.

 

 

Les jeunes devraient respecter et bien se charger des personnes plus âgées, quant aux personnes âgées, elles devraient être plus généreuses même si les jeunes sont en faute alors parfois elles se sentent irritées. Alors elles devraient dire : « Entendu, ce n’est pas la manière de le faire, mais faisons-le comme ceci et comme cela à la place », de manière à adoucir les jeunes. On doit toujours agir de cette manière mutuellement les uns envers les autres indépendamment du rang social.

 

Bien que les gens naissent tous du ventre de leur mère, ils ont tous des charactères différents. Mais comment pouvons-nous demander aux autres de correspondre à nous, n’est-ce pas ? (Oui !) Nous devons donc faire des efforts pour nous changer nous-mêmes d’abord. Si nous continuons de dire aux autres de changer sans nous changer nous-mêmes d’abord, alors nous ne pourrons pas aller au Ciel au dernier jour. Donc nous devons d’abord changer afin d’apporter tout le monde au Ciel. Alors les mérites se sont accumulés avec succès. Mais si vous malmenez les autres, de peur, ils vont se brider et ils ne pourront plus travailler.

 

A présent, montrons-nous déterminés! Remettons-nous-en au Seigneur et à la Sainte Vierge ! Lorsqu’on compte sur l’humanité, on se sent toujours tristes et désappointés. Remettons-nous-en donc à Jésus et à la Sainte Mère et pratiquons les Cinq Spiritualités. (Amen !)

 

Je pourais penser de ma belle-mère de la sorte : «Ma mère a préparé absolument tout avec l’aide de ses soeurs pour l’anniversaire de ses soixante ans. Ma belle-mère aurait dû au moins dire merci à ma mère. Mais comment peut-elle ... » Ma mère, après avoir fait la récolte, lui avait apporté toute la récolte, cependant, à la place, ma belle-mère l’avait poussé violemment, blessant son dos jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus bouger. Puis je devais lui donner à manger alors que c’était moi qui avait besoin de son aide. Cette situation était suffisante pour blâmer ma belle-mère, malgré tout je n’arrivais pas seulement pas à lui pardonner mais je ne lui ai fait aucun reproche. Depuis ma naissance, c’était la première fois que je n’arrivais pas à pardonner.

 

Quand je n’ai pas pu recevoir la Sainte Communion pour la première fois, après en avoir fait l’offrande gracieusement, Jésus m’a constamment élevée. Si nous restons bloqués là, nous ne grandirons jamais. Quand un vers à soie fait son cocon, puis plus tard qu’il essaye d’en sortir comme un papillon de nuit, combien doit-il lutter laborieusement, n’est-ce pas ? C’est de cette manière-là que nous allons de l’avant. Nous devons donc surmonter toutes nos difficultés à l’aide des Cinq Spiritualités.

 

Quand je travaillais dans un salon de coiffure, je travaillais très dur mais on ne m’a jamais payé mon salaire.  « Semchigo » comme si j’avais pratiqué l’amour et travaillé pour ces personnes, « Semchigo » comme si j’avais reçu mon salaire.  

Cependant, quand je travaillais dans un des salons de coiffure, je n’ai reçu aucun salaire, même après plusieurs mois. Alors j’ai pensé : « J’ai travaillé jusqu’à présent, je vais juste partir d’ici. » Puis j’ai pris le bus. Tout à coup, un taxi a arrêté le bus et les passagers du taxi sont montés à bord du bus et ont commencé à me frapper. Les autres passagers dans le bus ont essayé de les arrêter en leur disant : « Pourquoi la frappez-vous ? » Ils répondirent : « Cette garce est une voleuse. » et ils continuaient à me fouler aux pieds et me frapper. Ils ont piétiné mon visage avec leurs chaussures puis m’ont jeté en dehors du bus.

 

 

Quand je les ai vus, il y avait trois hommes, jeunes, chaussés, qui portaient du bois de charpente. Après m'avoir frappée avec ces bois de charpente, bien que je saignais des pieds à la tête, j’ai été traînée par ces trois hommes dans le salon de coiffure et obligée d’y travailler.

 

« Semchigo, comme si j’avais été aimée. » Et non pas : « Pourquoi ma vie sur terre est-elle comme cela ? » Mais, « Oui, je pratique la spiritualité de Semchigo comme si j’étais aimée. » j’ai travaillé avec mes blessures.

 

J’ai exécuté tout ce qu’on me demandait de faire. Cela s’est passé à l’époque où je sortais ensemble avec Julio et je n’avais même pas le temps de lui écrire une lettre. Je travaillais ainsi. Mais tout en travaillant, j’offrais tout en sacrifice. Jésus était ensemble avec moi. (Bien qu’elle ne connaissait pas Jésus, elle a réalisé que Jésus était avec elle, donc elle était capable d’offrir en sacrifice ce qu’elle vivait.)

Quand j’ai lu le message d’aujourd hui, j’ai réalisé: « Ah! Toutes ces choses qui se sont passées, c’était pour m’éprouver. » Voilà pourquoi j’ai été gravement et sévèrement battue. Mais aucun de mes os n’a été brisé.

 

Lorsque j’ai dirigé une école, trois parmi nous l’ont constituée en société avec des actions à parts égales payées par les deux hommes et moi. C’était pour en faire une Académie du tricot. Il fallait une licence que je ne possédais pas. Cependant, j'ai fait beaucoup toutes sortes de travaux. L’un des partenaires était un homme marié et l’autre était célibataire.

 

L’homme célibataire, non marié, m’aimait. C’est compréhensible. Je continuais à lui dire que j’avais déjà un fiancé et que « C’est la maison de mes beaux-parents et que ma belle-famille est toujours gentille à mon égard. » Comme il a essayé de me séduire aveuglément, je lui ai dit : « Mon fiancé est toujours bon pour moi, et ma belle-mère est aussi gentille envers moi ainsi que mon beau-père. » Mais ça n’a servi à rien.

 

Même l’homme qui était marié m’a dit: « Je vais divorcer avec ma femme. Vis avec moi. Nous pourrons diriger l’Académie ensemble. » Par conséquent, j’ai quitté l’Académie. Mais il a essayé de ne pas me donner d’argent. L’Académie ne marchait pas bien sans moi. Il m’a dit : « Je ne recommencerai plus jamais. » Alors, je suis revenue. Plus tard, puisque je ne pouvais plus y  travailler, je lui ai dit : « Je vais arrêter.» Un jour, il m’a dit de venir pour que je reçoive l’argent. Quand j’y suis allée, l’assistant m’a dit d’attendre une minute. C’est ce que j’ai fait. Cependant, deux femmes sont entrées soudainement.

 

Elles m’ont étendue par terre la face dirigée vers le haut et elles ont à plusieurs reprises battu ma tête sur le sol en béton. Elles ont aussi marché sur mon corps puis battu mon corps tout entier et elles ont aussi essayé de me briser les pieds. Ensuite, elles m’ont traîné vers une énorme machine à tricoter, m’ont cognée brutalement contre cette machine en comptant chaque coup. Mes os auraient pu être brisés compte tenu de l’extrême violence.

 

Mes cheveux ont été arrachés en abondance. Quand je suis arrivée chez Julio (son fiancé) le corps recouvert de sang, il a tout de suite su ce qui s’était passé et m’a rassuré en me disant : « Je vais t’aider à arranger les choses. » Mais la femme a menti à Julio en lui disant : « Ne croyez pas votre fiancée. Elle a couché avec le chef de l’Académie à telle heure, dans tel motel, tel jour. »  

 

Alors Julio (son mari ici présent) a dit : « Comment pourrais-je ne pas y accorder d’importance ? » Ce qui veut dire qu’il était tombé dans le panneau ! « Si tu ne peux pas me croire, je préfère ne pas me marier avec toi. »

 

J’estimais que c’était injuste, parce qu’il y a un dicton qui dit : « C’est plus difficile de recouvrer l’honneur d’une personne accusée de fausses rumeurs en histoire d’amour que de voler. » Mais soudainement, j’ai été étonnée que ce fut ce jour-là et j’ai vérifié sur le calendrier. Quand j’ai travaillé à l’Académie, je n’ai jamais cessé de travailler même les jours fériés. Je m’étais aperçue que c’était le seul jour où je n’étais pas allée à l’Académie puisque c’était le jour de l’anniversaire du père de Julio. Qu’est-ce qui lui a pris de choisir la date à laquelle j’étais restée toute la journée chez Julio. Finalement, j’ai été innocentée de ces honteuses accusations.

 

C’est par hasard qu’elle a dit la date, mais elle a été choisie par la Providence du Seigneur ! (Amen !)

Notre Seigneur m’a entièrement aidée. Ainsi, chers pèlerins, aussi difficile et ardue que soit votre vie, offrons-la gracieusement en sacrifice, mais ne disons pas : « Ah ! Pauvre de moi, comme je suis misérable ! »

 

Moi aussi, je suis une faible personne et je ne suis pas assez qualifiée pour parler de ceci plus que vous. Beaucoup de gens ont été rétablis et guéris, même des personnes mourantes ou déjà mortes sont revenues à la vie ici à Naju. Mais je n’ai rien fait personnellement pour ces miracles. Je ne suis qu’une pécheresse indigne.

 

C’est le Seigneur qui a tout fait et je ne suis simplement qu’une pécheresse indigne. Mais j’ai un ardent désir d’accomplir tout ce que Jésus veut que je fasse avec mes efforts considérables. Je suis mon chemin en portant cette passion. Chers pélerins, avançons ensemble vers le Seigneur et la Sainte Mère avec cette passion formant un seul coeur et un seul esprit. Amen ! Merci !

 

A présent, pensons seulement à nos propres fautes que nous avons commises. Ne disons pas la prière des Pharisiens mais la prière du collecteur d’impôts : « Seigneur, je suis un pécheur. » Approchons du Seigneur en disant cette prière.

 

Seigneur, bénissez toutes les familles malades afin qu’elles deviennent les pierres de la Sainte Famille pour l’amour du Seigneur ! (Amen ). Rien n’est impossible pour que ça se réalise si chacun accepte « C’est de ma faute », « les Cinq Spiritualités ». Jésus ! Vous connaissez bien l’indignité et les faiblesses de vos enfants qui sont ici. Nous, qui sommes si faibles, faites-nous devenir de petits bébés, des frères et soeurs jumaux de Jésus afin que nous puissions finalement devenir Vos apôtres pour l’Oeuvre du Salut de ce monde.

 

A présent, il y a beaucoup d’opposants à Naju, mais en même temps, il y a aussi beaucoup de membres du clergé qui soutiennent Naju.

 

Merci, Jésus! Merci, Sainte Mère! Jésus et la Sainte Vierge! Vous êtes apparus à Naju et vous avez accordé d’innombrables grâces. Vous avez montré toutes sortes de signes et de miracles sans précédent que nous pouvons voir et entendre. Nous jouissons de la bénédiction que même le roi Salomon, qui a vu des choses merveilleuses, n’a pa pu voir.

 

 

Comme elles sont merveilleuses les grâces que nous vivons!  Cependant, parfois, nous perdons ces précieuses grâces face au Diable ! Seigneur! Edifiez-nous sur le roc pour que nous ne les perdions pas! Nous Vous prions de nous accorder à chacun de nous les grâces dont nous avons besoin. (Amen!)

 

Et nous Vous prions de guérir toutes les blessures dans nos coeurs dont nous avons hérité depuis que nous sommes dans le ventre de notre mère. Quand nous effaçons des lettres sur le papier avec une gomme, il reste encore des taches faites par le crayon. Mais lorsque Jésus nous guérit, Vous pouvez enlever toutes les blessures avec le feu de Votre Esprit Saint. (Amen !) Nous Vous prions de les supprimer de notre mémoire.

 

Aidez-nous donc à nous armer des Cinq Spiritualités et à les pratiquer pour que nous jouissions d’une vie de résurrection remplie d’amour, de joie et de paix. Puis finalement, que nous jouissions du bonheur éternel aux côtés du Seigneur et de la Sainte Mère au Ciel au dernier jour. Par conséquent, que soit rendues gloire au Seigneur, consolation à la Sainte Vierge et une vie d’éternelle gratitude pour nous tous.

 

SOh, ma Mère qui connaît tous mes péchés.
Je t’en prie, lave mon Coeur blessé
avec tes Larmes de Sang d’amour.
Etreins-moi, moi qui erre dans le péché.
Maman, vous êtes mon seul refuge,
Je me jette moi-même sur ton Coeur.

Oh, Mère, Les Larmes et les Larmes de Sang
Que tu as versées pour tes innombrables enfants dans le monde.
Ta voix avec laquelle tu pleures
d’une voix rauque maintes et maintes fois.
A présent, Mère, ma mère, je te prie d’arrêter
de verser des Larmes de Sang.
Nous pratiquerons à nouveau les Cinq Spiritualités.

Maman, maman, ma maman,
ton amour absolu peut guérir mon corps
et mon âme qui sont souillés de blessures.
Comment puis-je payer de retour ton amour sublime!
J’offre simplement un hymne de gloire au Seigneur
en pratiquant les Cinq Spiritualités.

Ce pécheur qui errait dans le monde séculier,
maintenant que je pratique les Prières de la Vie,
en les offrant en sacrifice tout « C’est de ma faute »
et non les autres, ensemble avec « Semchigo » et « Amen »
Pour aller au Ciel à l’aide des Cinq Spiritualités.

Sacré-Coeur de Jésus, Coeur Immaculé de Marie.
Dans l’amour uni de vos deux Coeurs,
je montrerai le pouvoir d’amour en m’abaissant moi-même.
C’est par la spiritualité de C’est de ma faute et celle du Semchigo
que je recoudrai Vos Coeurs déchirés!
Allons ensemble au Ciel en pratiquant les Cinq Spiritualités!

 

Extraits du Témoignage de Julia, le 3 novembre 2018 (PDF) : Cliquez